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Marche pour le climat et la justice sociale

Le Mans 14h à 16 h Place de la République

Nous sommes à un moment décisif. D’un côté, nous devons agir pour diminuer notre empreinte carbone lié à notre activité. Et de l’autre la guerre que Poutine mène en Ukraine vient en rajouter.

La guerre et le surarmement ne sont pas bons pour l’environnement et pour les humains. Pendant que les bombes pleuvent créant la désolation et la mort, le gouvernement poursuit son inaction pour le climat. Un quinquennat de reculs successifs sur les néonicotinoïdes, le glyphosate et l’autorisation des méga bassines et rien pour rendre une agriculture moins productiviste, plus respectueuse de l’environnement, plus bio, c’est ce triste bilan de cinq ans de Macron occulté par l’actualité de guerre. En allant dans la rue ce samedi nous dirons oui à un changement de politique tourné vers l’humain et le climat… C’est maintenant qu’il faut agir

Tous dans la rue Samedi 12 mars 2022

Communiqué de presse du Mouvement de la Paix et du Collectif en Marche pour la Paix

Le Mouvement de la Paix condamne fermement les actes de guerre de la Russie
e
t appelle partout à l’action pour dire non à la guerre.

Suite du communiqué : CPMvtPaixCondamnationfermeactesdeguerrerusses

Communiqué de presse de ICAN France, organisation prix Nobel de la Paix 2017

La Campagne internationale pour abolir les armes nucléaires (ICAN), lauréate du prix Nobel de la paix 2017, condamne fermement l’invasion russe de l’Ukraine et la menace de Poutine d’utiliser des armes nucléaires. La guerre n’est jamais acceptable et les attaques russes contre l’Ukraine, notamment en utilisant des armes nucléaires, auront des conséquences humanitaires catastrophiques pour les civils.

Lire la suite : Communiqué Presse Ukraine

Contribution du MNLE PACA à l’enquête publique concernant la Ligne Nouvelle Provence Côte d’Azur 

Contribution du MNLE PACA à l’enquête publique concernant la LNPCA                (Ligne Nouvelle Provence Côte d’Azur)

Nous le répétons au fil des débats publics, des concertations et des communiqués, depuis plus de 20 ans : la Région PACA subit une thrombose routière qui dégrade les conditions de vie, fait perdre du temps dans les embouteillages, pollue l’atmosphère avec les émissions de gaz à effet de serre dues à la route. Il est impératif de renforcer les transports collectifs, et parmi ceux-ci le train.

Le ferroviaire a trois atouts environnementaux déterminants : il économise le CO2, il économise l’énergie et il économise l’emprise au sol. Le ferroviaire est indispensable pour décarboner, pour désaturer les villes et les autoroutes et pour consommer moins d’une énergie électrique verte devenue plus chère. Ces enjeux environnementaux sont désormais compris par les Français qui sont convaincus que l’on doit vraiment s’attaquer au défi climatique (extrait du livret « le fer contre le carbone » de Jean Pierre FARANDOU)

Effectivement il faut permettre à davantage d’usagers de laisser leur voiture au garage, et cela implique davantage de trains en particulier sur le littoral de Marseille à Nice. Les infrastructures ferroviaires existantes sont à bout de souffle et déjà saturées. Le service n’est pas à la hauteur des métropoles comme Marseille, Toulon ou Nice, avec rarement plus d’un TER par heure pour les services omnibus. Il n’est pas à la hauteur de ce qui se pratique dans les Régions voisines, ou dans des Régions d’autres pays européens comparables. Cela n’est ni attractif pour le report modal, ni ne permettrait d’absorber l’augmentation du trafic ferroviaire si celui-ci venait à être imposé par de très fortes contraintes sur l’usage de la voiture. L’unique ligne ferroviaire de Marseille à Nice est saturée car elle supporte tous les types de trafic, entre les trains locaux qui s’arrêtent dans toutes les gares, les trains traversant toute la Région, les trains nationaux, et les trains de fret. De plus ces trains n’ont pas la possibilité de se dépasser, c’est la raison pour laquelle une nouvelle ligne de chemin de fer est inéluctablement nécessaire afin de désenclaver l’Est de la Région par le train : il faut 2h40 pour relier Nice à Marseille qui ne sont distantes que de 158 kms.

Dans les années 1970, la SNCF avait fait le choix heureux de construire de nouvelles lignes à grande vitesse, ce qui a permis de faire circuler beaucoup plus de trains et donc permettre à beaucoup plus de gens de se déplacer en laissant leur voiture au garage. Mais compte tenu des coûts et surtout d’une volonté politique affichée que cette croissance des transports ne se fasse que par la route, la modernisation des lignes existantes n’a pas été suffisamment réalisée. Ce qui rend difficile la cohabitation entre les trains TER, TET, TGV et Fret sur les lignes anciennes et particulièrement entre Marseille et Nice où n’existent pas de lignes nouvelles.

Dès 1998, de nombreux habitants et des Elus ont demandé au ministre des Transports de l’époque, par l’intermédiaire du Vice-Président chargé des transports au Conseil Régional de PACA qu’il soit possible de desservir la Région PACA au-delà de Marseille avec une ligne nouvelle à grande vitesse dans la continuité de la ligne TGV Paris-Marseille qui allait s’achever en 2001.

Monsieur le ministre donna rapidement son accord pour ce projet de ligne à grande vitesse.

Les objectifs du projet de Ligne Nouvelle Provence Côte d’Azur étaient :

1 – D’ouvrir la région Provence-Alpes-Côte d’Azur aux autres régions françaises et désenclaver l’est de la région en le reliant au réseau ferré français à grande vitesse.

2 – De faciliter les déplacements à l’intérieur de la région et particulièrement entre les métropoles Marseille, Toulon et Nice en offrant une alternative à la route tout en modernisant la seule ligne ferroviaire existante du littoral.

3 – De constituer un système ferroviaire intégré et le chaînon manquant de l’arc méditerranéen Barcelone – Marseille – Gênes.

Depuis bientôt 20 ans, de concertations en tergiversations, le projet avance lentement, trop lentement. 2005- 2009- 2012 ont été des dates qui auront marqué le projet mais sans le faire avancer. En 2018 le Conseil d’Orientation des Infrastructures propose de réorganiser le projet devenu LNPCA en 4 phases avec une réalisation entre 2023 et 2035 pour les phases 1 et 2 et jusqu’à 2050 pour les phases 3 et 4.

Soit plus de 50 ans pour réaliser éventuellement ce projet.

Les travaux de la phase 1 correspondent :

  • A l’adaptation des plans de voies de Marseille Saint Charles.
  • A la création d’une Halte Saint André avec suppression de plusieurs PN.
  • A la création d’ateliers de maintenance à Arenc et à Blancarde.
  • A la mise en place du RER Toulonnais entre Saint Cyr et Carnoules.
  • Au déplacement de la Gare TER à Nice Saint Augustin sur le même emplacement que la Gare TGV en face l’aéroport.
  • A la réalisation des travaux de modernisation de l’ensemble de la ligne entre Marseille et Nice avec la mise en place du nouveau système d’espacement des trains. (ERTMS)

Les travaux de la phase 2 correspondent :

  • Au doublement du tunnel de Saint Louis.
  • A la réalisation du tunnel de la Delorme à la Parette avec construction de la gare souterraine de Marseille Saint Charles avec 4 voies à quai de 400 m et au déplacement de certains immeubles de la Cité Bassens.
  • Au passage en terrier de la voie Marseille-Nice sous l’embranchement de Cannes Grasse.
  • A la construction d’une gare 4 voies TGV-TER à Cannes Marchandises.
  • – A la réalisation d’un plateau 4 voies à Cannes et Antibes.
  • A l’adaptation des voies à Nice Ville et construction d’un atelier de maintenance à Nice Saint Rock.

Les travaux des phases 3 et 4 correspondent à :

  • La réalisation de portions de lignes rapides nouvelles entre Aubagne et Toulon et entre Le Muy et Nice. Des études pour déterminer les passages devront être réalisées au cours des phases 1 et 2. Pour l’instant rien n’est prévu entre Toulon et le Muy.

L’enjeu des phases 1 et 2 du projet LNPCA est de fiabiliser l’exploitation des différents services sur la ligne actuelle mais il n’est pas concevable d’en rester aux phases 1 et 2 de la LNPCA compte tenu de l’enclavement ferroviaire de la Côte d’Azur et de la densité des circulations TER attendue.

Si nous saluons néanmoins les propositions faites dans cette enquête publique pour les phases 1 et 2, nous souhaitons que les études prévues à la Décision ministérielle récente puissent être effectuées dès 2022 afin que les travaux des phases 3 et 4 puissent commencer très rapidement. Cela est souhaitable, voire souhaité si l’on en croit les déclarations récentes du Président de la République, du 1er Ministre et du Président de la SNCF. Nous sommes cependant inquiets des risques de perturbation du projet que devrait entrainer la mise en concurrence des trains sur la Région PACA.

Gérard PIEL Président du MNLE PACA

Collecte et gestion des déchets ménagers de la communauté urbaine de Dunkerque

Le comité 59-62 Nord Pas de Calais du MNLE a saisi Madame Claire Hédon,
Défenseur des droits, dans un litige qui oppose à la Communauté Urbaine de Dunkerque, plusieurs associations dont le MNLE 59 -62, des syndicats et des partis politiques, sur le dossier des la collecte et la gestion des déchets ménagers.

Ils mettent en cause le non respect des règles de fonctionnement dans la prise de décision des collectivités territoriales.

Lettre au défenseur des droits : défenseur des droits 03.02.2022.

Pour de plus amples informations sur cette affaire : de l’excellence vers la gabegie. dechets CUD 01.01.2022

 

 

RIEN A CACHER

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Je viens de lire un court récit d’anticipation. L’auteur imagine le monde dans lequel le tout numérique nous entraîne. Robert Clavijo, Président du Comité Biterrois du MNLE

RIEN A CACHER

nouvelle de Patrice FAVARO

Un étudiant nommé R. Alkantara est recruté par une agence gouvernementale comme cobaye pour une expérience de lutte contre le terrorisme. Il s’agit de détecter les futurs terroristes avant qu’ils commettent des crimes. L’expérience utilise les innombrables caméras installées en cachette dans les rues, dans les gares, dans les grands magasins, à l’entrée des immeubles, etc. Ces caméras, en se perfectionnant, deviennent capables d’identifier chaque personne (« reconnaissance faciale ») et de lancer l’alerte si un visage exprime quelque chose de suspect : haine, angoisse, stress, etc.

Moyennant une rémunération alléchante et sûr de participer à une bonne action (empêcher les crimes terroristes) l’étudiant Alkantara accepte de devenir cobaye dans cette expérience.

Désormais toutes les caméras qu’il rencontre enregistrent ses déplacements, ses gestes et toutes les expressions de son visage.

Le père de l’étudiant travaille dans l’industrie chimique. Il manipule, respire et ingère des produits toxiques. C’est pourquoi il tombe gravement malade. Quand l’étudiant apprend que son père n’a plus que quelques semaines à vivre, il éprouve des sentiments bien naturels et bien légitimes de haine et de révolte contre l’industrie chimique et contre la longue chaîne de complices qui permet aux industriels de poursuivre leur activité meurtrière : actionnaires qui exigent des profits à 2 chiffres, banques qui financent les industries dangereuses, préfecture qui ferme les yeux sur les dangers de l’industrie, gouvernements complices des grands patrons, médias qui n’alertent pas les citoyens, etc. Haine et révolte se lisent plusieurs fois sur le visage d’Alkantara. Les caméras l’enregistrent.

L’étudiant est aussitôt convoqué par l’agence gouvernementale qui l’interroge. Elle découvre ainsi pourquoi Alkantara ressent de la haine et des velléités de révolte. A partir de ce jour l’étudiant banal est classé parmi les personnes dangereuses, capables de commettre des attentats.

Désormais les caméras de reconnaissance faciale lui interdisent l’accès non seulement des usines mais aussi des banques et de tous les lieux propices aux attentats : aéroports, gares, métro, supermarchés, immeubles, etc. Alkantara, bien que jeune homme sans histoire et innocent, constate qu’il est exclu de la société.

Ce récit semble de la médiocre science fiction et pourtant il ne contient rien d’irréaliste. L’auteur n’a inventé ni les caméras de surveillance, ni la reconnaissance faciale, ni la recherche de procédures pour détecter les terroristes. Innombrables sont aujourd’hui les moyens électroniques d’espionner les personnes jusque dans leur intimité : compteurs communicants (linky etc) , logiciels de type PEGASUS espionnant les tél portables et domotique hyperconnectée utilisant la 5 G. Cet espionnage alimente le commerce des données qui est en plein essor et la cybercriminalité qui se multiplie.

Un système de surveillance, de contrôle et de mise au pas de tous les individus est déjà à l’oeuvre en Chine, peut-être aux USA (où CIA et NSA espionnent impunément qui elles veulent) sûrement en Israël. Au nom de l’antiterrorisme et de la « sécurité »  quel Etat, quel gouvernement résistera à la tentation de basculer lui aussi dans le cybertotalitarisme ? Voulons-nous vivre en France dans une société totalitaire de type chinois ?

Internet fut inventé aux USA par et pour l’armée des USA avant de devenir le métier de 5 trusts des USA  : Google, Apple, facebook, Amazon et Microsoft. Le numérique, avec Hollywood, le rock and roll et le « rêve américain », fait désormais partie du « soft power » de l’impérialisme washingtonien. Nous sommes chaque année plus dépendants des GAFAM. Voulons-nous continuer dans ce sens sous prétexte de modernité ?

J’ai souvent entendu dire « Peu m’importe qu’on m’espionne : je n’ai rien à cacher ». Alkantara lui aussi n’avait rien à cacher…

NON A LA GUERRE EN UKRAINE !

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Appel national inter-organisations
NON A LA GUERRE EN UKRAINE !
LA GUERRE N’EST JAMAIS LA SOLUTION- OUI A UNE SOLUTION POLITIQUE NÉGOCIÉE
Les tensions entre les États-Unis et la Russie – deux puissances nucléaires – atteignent des proportions alarmantes avec des mouvements de troupes russes massifs aux frontières de  l’Ukraine d’une part et des livraisons d’armes et envoi de troupes par l’OTAN dans les pays limitrophes d’autre part. Cette politique de confrontation ne peut produire que des perdants.
Nous ne sommes pas à l’abri de provocations qui déboucheraient sur une guerre d’ampleur.
L’Ukraine paie un lourd tribut économique et humain en raison des hostilités nationalistes attisées au niveau international. Ces tensions peuvent avoir des conséquences très négatives pour tous les peuples d’Europe bien au-delà de la zone du conflit, par exemple la flambée des prix du gaz…
Nous choisissons la voie du dialogue et de la paix. Il existe des solutions diplomatiques à la crise.
Nous dénonçons les jeux géopolitiques à l’œuvre tant de la part de la Fédération de Russie, de l’Union Européenne, de l’OTAN et d’autres…
Nous demandons à tous les responsables politiques d’arrêter de suivre la logique militaire et de faire prévaloir l’aspiration des peuples à la paix.
Tous les peuples sans exception – qui sont confrontés à une crise globale (climatique, sanitaire sociale ..) frappant les plus pauvres , les plus fragiles- n’ont rien à gagner à une nouvelle guerre !
Les priorités pour les peuples et l’avenir de l’humanité se nomment : Paix, climat, justice sociale, réalisation des droits humains, désarmement !
Nous revendiquons :
1. Des négociations immédiates pour la désescalade
2. L’arrêt des menaces, des concentrations de troupes de l’OTAN et de la Russie et des livraisons d’armes à toutes les   parties
3. Un cessez-le-feu en Ukraine et la mise en œuvre des accords existants
4. Que les Nations-Unies soient le cadre privilégié d’élaboration des solutions politiques et diplomatiques pour régler la question ukrainienne.
Sur ces bases nous appelons aux mobilisations les plus larges possibles à compter du 12 février 2022.
Premiers signataires : Le Mouvement de la Paix, FSU, CGT, Enseignants Pour la Paix (EPP), PUGWASH- France., AFCDRP (asso française des communes départements et régions pour la Paix) Appel des Cent Bagnolet , ACCA ( agir contre le colonialisme aujourd’hui), PCF , République et Socialisme , Collectif citoyen pour la paix en Ukraine, conseil de coordination du Forum des russes de France, APCV (asso de promotion des cultures du voyage), Parti pour la laïcité et la démocratie en Algérie(PLD), IDRP(Institut de Recherche pour la Paix- Daniel Durand), Vrede (Mouvement Belge pour la Paix) , PRCF ,Union des fédérations de pionniers de France, PRCF, Abolition des armes nucléaires, Maison de la Vigilance, Université Européenne de la Paix (UEP), MNLE Réseau Homme et Nature

Déclaration du MPCAS-MNLE72 sur les projets d’installation de méthaniseurs notamment sur le site de Chemilly dans l’Orne.

Sans rentrer dans les détails du projet, plusieurs choses nous interpellent: La multiplication sans précédent de projets de méthaniseurs, de projets d’éoliennes dans nos prairies. Le monde paysan ne se transforme-t-il pas au nom de l’« écologie » en véritable champ industriel abandonnant son objectif premier d’être la terre vivrière de nos villes et de nos campagnes.

Plutôt que d’une Politique Agricole Commune plus respectueuse des agriculteurs et de l’environnement, le gouvernement s’attaque au marché carbone et ses compensations. Il s’agit d’un faux semblant qui dit compenser ne dit pas diminuer l’empreinte carbone. La confédération paysanne a fait une déclaration ce lundi sur ce marché laissé au privé. En réalité, il est une fois de plus demander aux paysans de compenser leur baisse de revenus par de nouvelles sources de revenus et une nouvelle soumission au marché.

La méthanisation n’a rien de choquant en soi si il s’agit de récupérer les déchets végétaux ou alimentaires et les effluents d’élevages, mais ce qui est grave c’est la part des cultures dites intermédiaires qui pourraient y prendre une place prépondérante.

Les paysans se transformant en sous traitant, fabricant de gaz au profit de groupe pétrolier et gazier qui vont laisser le marché faire son œuvre. Nous le disons les paysans doivent rester sur leurs métiers et en vivre dignement. La multiplication de lieux de méthanisation est organisé par les multinationales leur permettant ainsi d’imposer leur prix, certains paysans seront vite confrontés à la désillusion, et poussés à augmenter leurs cultures intermédiaires, etc.

D’ailleurs dans les projets qu’ils soient éoliens ou méthaniseurs personne ne parle du démantèlement en cas de faillite. Qui va s’occuper de ces friches industrielles ? Vu la multiplication des sociétés, il apparaît qu’elles n’auront pas la taille nécessaire à leur propre démantèlement. Edf a prévu dans ces coûts le démantèlement des centrales nucléaires.

Nous n’avons vu dans ces projets aucun élément probant sur ce sujet.

Un autre sujet est inquiétant : ce projet prévoit d’utiliser les eaux pluviales pour son fonctionnement de n’utiliser exceptionnellement l’eau du réseau en cas de sécheresse.

S’il y a sécheresse, il est plus important de garder l’eau pour le monde des vivants plutôt que pour fabriquer du gaz…

Une question est effleurée partout avec une réponse normée : la question de la sécurité incendie, pollution de l’eau, de la nappe phréatique, pollution de l’air. Ces méthaniseurs malgré les efforts de sécurité restent dangereux et une information réelle des populations devraient être faite et des plans type SEVESO devraient être déployés. Tant que ce n’est pas arrivé tout va bien. Après…

Sur le fond ces méthaniseurs devraient être du domaine public pour garantir une continuité du service, de la sécurité et du démantèlement. Un dossier plus complet sera élaboré par notre association dans l’enquête publique.

Nous réclamons que ces enquêtes soient réellement rendues publiques, que les habitants soient consultés.

Le jeudi 10 Février 2022

voir un article paru dans ouest France https://www.ouest-france.fr/normandie/mortagne-au-perche-61400/orne-dans-le-perche-le-raccordement-des-methaniseurs-au-reseau-de-gaz-inquiete-les-riverains-

VILLAGE DES ALTERNATIVES vendredi 11 février 2022 à l’université du Mans

Village des Alternatives : 4ème édition

Le vendredi 11 février, venez découvrir le village des alternatives proposé par Univ’Vert ! Une quinzaine d’acteurs du territoire seront présents à EVE – service culture – Le Mans Université et à la Bibliothèque Universitaire du Mans en salle Pierre Belon pour présenter leurs activités et initiatives en faveur du développement durable et de l’économie circulaire.

Au programme :

Des stands :

– A EVE : 28% – Conserverie Anti-Gaspi , Ardvina , Ceas72, Le Mans Métropole, le service propreté, UFC-Que Choisir Sarthe, Caue Sarthe, Mamie Mesure Le Mans

– A La Bibliothèque Universitaire : Sarthe Nature Environnement, Salut transition écologique 72, Mouvement National de Lutte pour l’Environnement (Dominique Campagna), Les fourmis sarthoises – Super Coop Le Mans

Des débats (À EVE) :

– 10h30 : « Quand mes déchets deviennent des ressources » (CEAS72)

– 11h : Consommation responsable et bas carbone (UFC Que Choisir ?)

– 13h30 : Le compostage (Ardvina Compostage)

Des ateliers :
– De 13h à 17h : Fresque du Climat (Univ’vert), à EVE (inscription : asso.univvert@gmail.com)
– Dans l’après-midi : « Transi’Sarthe – viens découvrir sous forme de jeux des initiatives locales et respectueuses de l’environnement », à la B.U.
– A partir de 16h30 : « Tawashi – Viens fabriquer ton éponge à partir de vieux collants ! », à la B.U. (matériel fourni)
Venez nombreux participer !