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COP 26 : Réaction du MNLE Réseau Homme&Nature sur les travaux de la COP 26

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La COP26 n’est pas au niveau de la crise qui frappe la planète.

Dans sa charte pour l’action adoptée en octobre 2019, le Mouvement National de Lutte pour l’Environnement (MNLE) a acté des propositions qui peuvent se résumer en ces termes :

« PRODUIRE ET CONSOMMER AUTREMENT POUR BIEN VIVRE ET SORTIR DU CAPITALISME POUR SAUVER LE CLIMAT, LA PLANÈTE ET L’HUMAIN ».

Cette charte prend toute signification quand on revient sur les deux années marquées par la pandémie que nous venons de vivre ! La promesse d’un monde nouveau qui succéderait au monde d’avant la Covid, a vite été oubliée par les dirigeants politiques et économiques de la planète.

La COP26 de Glasgow s’apparente à une négociation en trompe l’œil, oubliant les nations premières et les peuples, tout en autorisant la provocation de milliardaires déferlant dans leurs jets privés, pour annoncer le ruissellement des miettes issues du pillage des richesses de la planète qui les a définitivement disqualifiés, tout comme les appels répétés des dirigeants politiques prônant l’austérité pour les peuples qui subissent de plein fouet la crise climatique et sociale et supportent le laisser faire et les privilèges pour les classes dominantes.

L’Humanité est face à des défis énormes, climat, biodiversité, pauvreté de masse, les réponses actuelles sont dérisoires, la ligne directrice reste celle du capitalisme « le profit à tout prix » et son marché.

C’est bien d’un profond changement économique et social dont nous avons besoin et certainement pas de mesures punitives pour les plus démunis face à la crise, même habillées du concept de sobriété !

La sobriété n’est pas la justice climatique, elle permet une diversion afin de ne pas aborder les vrais enjeux :

  • L’accaparement des richesses.
  • Les inégalités sociales.
  • La place des citoyen(ne)s dans les discussions.
  • Les pressions trop fortes sur la nature entraînant l’appauvrissement de la biodiversité et des peuples.

Des solutions existent, sont connues pour atteindre à la fois les objectifs de protection de l’environnement, du climat et de l’humain.

Par exemple :

  • Stopper l’artificialisation des terres agricoles, espaces verts et jardins.
  • Développer l’agroforesterie, les circuits courts, etc…
  • Interdire aux banques de financer l’extraction et la production des énergies fossiles à l’étranger : Charbon, Pétrole et Gaz
  • Soutenir la transformation lourde des installations de productions thermiques en France comme Cordemais et Gardanne notamment.
  • Taxer les carburants fossiles des transports aérien et maritime.
  • Développer les transports multimodaux : rouvrir des lignes ferroviaires, favoriser le cabotage moderne sur les littoraux et le ferroutage, réactiver les sites de fret ferroviaire, réduire les transports par camions et par avions.

LE CAPITALISME NE SAUVERA PAS LE CLIMAT, LA PLANÈTE ET L’HUMAIN.

MNLE Réseau Homme et Nature
Siège social : 13 rue des Fêtes, 75019 PARIS
Administration : 87 Bd. Tellene, 13007 Marseille
E-mail : mnle@wanadoo.fr Tél : 06 36 48 09 90

Lettre ouverte aux élu-e-s communautaires et municipaux et aux médias du dunkerquois

Le collectif Déchets d’agglomération dont fait partie le comité MNLE 59/62 adresse une lettre ouverte pour protester contre une journée de communication « expérimentation positive dans la gestion des déchets de la communauté Urbaine de Dunkerque ».

Pour en savoir plus : Gestion déchets communauté urbaine de dunkerque

COP26 : appel à mobilisation le 6 novembre pour la justice climatique

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Nous vous invitons à répondre à cet appel en rejoignant les initiatives, manifestations, rassemblements, actions ou débats publics partout en France autour du 6 novembre. Pour la justice climatique, pour les droits des peuples, pour un autre futur.

Carte des rassemblements : https://cop26coalition.org/map/

Chaque année bat un record de hausse de la température mondiale. Chaque année, les catastrophes climatiques se multiplient partout dans le monde. L’été 2021 en est la triste confirmation : incendies, inondations, ouragans, sécheresses, canicules… Les plus pauvres en subissent toujours plus dramatiquement les conséquences, en particulier dans les pays du Sud. La pandémie de la Covid 19 a par ailleurs mis en lumière les impacts irréversibles, y compris sur la santé, des attaques contre la biodiversité.

Le dérèglement climatique, c’est notre présent à toutes et tous, partout dans le monde. Phénomène global, il appelle des réponses mondiales : baisse massive des émissions de gaz à effet de serre, lutte contre les pollueurs et le système productiviste qu’ils nourrissent, solidarité internationale entre les pays riches et le Sud global, justice sociale et protection des droits humains doivent être les principes directeurs de l’action pour la justice climatique.

Six ans après l’accord de Paris, c’est ce qui devrait guider les États à l’occasion de la COP26 qui se déroulera à Glasgow du 31 octobre au 12 novembre afin de maintenir la hausse des températures en dessous de la barre des 2°C, voire 1,5°C.

Mais, depuis 2016, nos dirigeants en sont encore à discuter des moyens à mettre en œuvre face aux changements climatiques ou à tenter de verdir leurs images, en même temps que celles de nombreuses entreprises multinationales qu’ils soutiennent, sans engagements à la hauteur. Ils soutiennent le développement de fausses solutions, le greenwashing et la fuite technologique, qui, loin de résoudre la crise climatique, empêchent toute transition réelle.

Les gouvernements des pays les plus riches participent ainsi à un véritable crime climatique.

Nos dirigeants restent sourds aux interpellations, aux pétitions ou aux marches massives à travers le monde. Ils s’assoient sur les rapports du GIEC et les alertes de scientifiques. Ils regardent ailleurs alors que les dérèglements climatiques sont toujours plus nombreux, plus violents et plus meurtriers. Ils criminalisent et ne protègent pas les activistes environnementaux face à une répression qui va jusqu’à des assassinats, certains s’en rendant même complices.

Face à cette inaction climatique, qui devient un véritable crime contre le vivant, c’est aux mouvements populaires, ceux qui défendent les communautés impactées, les peuples autochtones, celles et ceux qui défendent le vivant, aux salarié·e·s et à toutes les personnes convaincu·e·s qu’il faut changer de modèle de production et de consommation de prendre la relève.

Partout dans le monde, la mobilisation citoyenne s’organise : défense des terres et des droits, blocage de projets polluants, actions dans les tribunaux, grèves pour le climat, etc. Elle porte des alternatives et remporte des victoires qui permettent d’enrayer cette machine infernale et de construire ainsi un futur désirable.

En Grande-Bretagne, une coalition de mouvements sociaux et écologistes organise plusieurs jours de mobilisation pendant la COP26 et appelle à des actions partout dans le monde le 6 novembre prochain.

Nous vous invitons à répondre à cet appel en organisant des initiatives, manifestations, rassemblements, actions ou débats publics partout en France autour du 6 novembre. Pour la justice climatique, pour les droits des peuples, pour un autre futur.

Nos mobilisations donneront de l’écho aux mobilisations locales, notamment celles qui appellent à défendre nos terres et nos droits fondamentaux, et aux mobilisations internationales qui entoureront la COP26.

1ers signataires :

112 Orgas au 28 octobre  

~ le mouvement

Action Aid

Action Contre la Faim

Action Contre la Faim – Chambéry

Action contre la faim – Corse

Action contre la faim

Action contre la Faim – Délégation du Gard

Action contre la Faim – Délégation du Var

ActionAid France

Adaptation radicale

Adaptation radicale francophone

AequitaZ

Agir pour l’Environnement

Aitec

ALDER Climat Energie

Altercarto

Altercarto – les mondes de la terre

Alternatiba 06

Alternatiba Nevers

Alternatiba Perpignan

Alternatiba Toulouse

AMIS DE LA TERRE DROME

Amis de la Terre France

ASPAS

Association CIT’EN

Association Cyberacteurs

Association Manger Végétalien

Association Vegan Impact

attac France

 Attac-Oise)

ATTAC 68

CCFD-TERRE SOLIDAIRE

CERCLE

C’est déjà ça

CGT

Chrétiens Unis pour la Terre

Citoyens pour le Climat (Amiens)

Citoyens pour le Climat Nîmes

CNT 73

Collectif citoyen »il est encore temps »

Collectif du Gâtinais pour la Marche pour le Climat

Collectif parisien du pacte pour la transition

Collectif RED ( Rassemblement pour l’égalité et la démocratie)

Communauté de l’Arche Non-violence et Spiritualité

Convention pour une république écologique

Convergence des Services Publics

DAL-Droit au logement

Donner du Sens

Droits Environnement et Citoyenneté DEC asbl

Environnement et Citoyenneté Responsable

Escape-jobs

Extinction Rebellion France

Extinction Rebellion Toulouse

Feyzin-Europe

Fondation Danielle Mitterrand

Fondation de l’Ecologie politique

France Amérique latine-FAL

France Nature Environnement

France nature Environnement

Fresque du climat

FSU

Geres

Gilets Verts

Graines Populaires 34

GreenFaith Francophone

Greenlobby

GREENPEACE FRANCE

Greenpeace Nancy

Greenpeace Dijon

Greenvox

Grévistes de la Faim pour un Avenir Possible

H20 Congo-Brazzaville

H2O GABON

IDAE (Informations pour la Défense des Animaux et de l’Environnement)

IDAE (Informations pour la Défense des Animaux et de l’Environnement)

Il est encore temps / Cplc

Ingre Ormes 2030

La tribu de l’impact

LDH

LDH Libourne

Le Mouvement de la Paix

Lobby Citoyen pour le Climat – CCL France

Marche pour le climat niort

mes Producteurs mes Cuisiniers

Mouvement Colibris

Mouvement des Progressistes

Mouvement National Lycéen

Mouvement pour une Alternative Non-violente

Nouvelles Agricultures en Territoire Urbain pour le Rassemblement et l’Emancipation Solidaires. (NATURES) – Pradettes

Notre Affaire à Tous

On est prêt

Oxfam France

Penser L’apres

Plaisance pour le Climat

Primaire Populaire

Printemps écologique

Réseau « Sortir du nucléaire »

Réseau Action Climat

SOL Alternatives Agroécologiques et Solidaires

Stop TERRA 2

StopZac

Street Art Rebellion

SYNDICAT SUD-PTT DE LA MAYENNE

Terra Nostra

troc de graines

Un Climat de Changement

URGENCE UNIS.ES POUR LE CLIMAT 18

Union Syndicale Solidaires

vie pays environnement

Virage Energie

Zero waste france

Votre organisation peut signer le texte par ici : https://framaforms.org/cop-26-appel-a-mobilisation-le-6-novembre-1634288508

 

Appel à mobilisation nationale contre les méga bassines

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Pour l’arrêt immédiat des chantiers de « méga-bassines » et autres projets 
d’accaparement de l’eau, 

MANIFESTATION NATIONALE 

A l’appel de Bassines Non Merci !, de la Ligue pour la Protection des Oiseaux, 
de la Confédération paysanne et des Soulèvements de la Terre. 

Dans le Poitou-Charentes, des coopératives agro-industrielles tentent de faire 
main basse sur l’eau, dans le but de pérenniser leur mode de production écocidaire : 
93 « méga-bassines »* dont plus d’une dizaine dans le Marais poitevin - 
deuxième plus grande zone humide en France - risquent d’être érigées dans les 
trois prochaines années. Une entreprise d’accaparement de l’eau vouée à s’étendre à 
l’ensemble du pays, si nous ne l’arrêtons pas dès maintenant ! 

Début septembre, le premier chantier de « méga-bassine » a commencé sous haute 
surveillance à Mauzé-sur-le-Mignon. Dans ce contexte et en dépit du dispositif 
policier mobilisé à l’occasion du congrès national de la FNSEA à Niort le 
22 septembre dernier, plus de 500 personnes ont envahi le chantier et fait reculer 
les bulldozers. 

Depuis cette action, les travaux ont repris. Le cratère est pratiquement achevé : 
sa plastification et la pose de plus de 5 km de tuyaux pour piller les sources et 
résurgences qui alimentent le Mignon sont les prochaines étapes. Sa mise en eau 
prévue pour la fin de l'année 2021 pourrait coïncider avec le démarrage d’un 
deuxième chantier sur la commune de Saint-Sauvant, dans la Vienne (86). 
Ni cette « bassine », ni aucune autre, ne doit être « mise en eau » ! 

Le passage en force à Mauzé-sur-le-Mignon a déclenché une résistance aussi large 
que déterminée : en plus de la manif-action du 22 septembre, de multiples recours 
juridiques ont été déposés contre ce projet qui viole six directives-cadres 
européennes et la Loi sur l'Eau et les Milieux Aquatiques (LEMA) ; 
des rassemblements citoyens ont également eu lieu et des actions de démantèlement 
de « méga-bassines » illégales ont été menées. 

Récemment, la MAJORITÉ des adhérents de Deux-Sèvres Nature Environnement a désavoué 
le protocole ( et pourtant une partie du bureau pro-bassines souhaite ne pas 
désavouer ce protocole à l'encontre de la motion votée !! ) 
Plus récemment le CRETT (association non environnementaliste mais qui a servi de 
caution environnementale à la Préféte..) a enfin reconnu aussi le manque 
d'engagements concrets sur l'absence d'utilisation d'engrais azotés pour les CIVE 
mais également sur l' irrigation de ces cultures à destination des méthaniseurs. 

D'autres acteurs signataires "clés" de ce protocole ont reconnu dernièrement que 
le compte n'y était pas : Vincent BRETAGNOLLE, directeur du CNRS et Président du 
Comité Scientifique et Alain Rousset le Président de Région, ont révélé que 
les engagements ne sont pas assez forts notamment sur la baisse des pesticides et 
l'absence partagée de la gestion de l'eau. 

Mais ce sont aussi près de 40 communes qui ont voté des motions contre ces projets 
funestes ! 

Nous avons donc aujourd'hui la confirmation de la véracité de tous les arguments 
que nous défendons depuis plus de 5 ans pour continuer et justifier NOTRE LUTTE, 
VOTRE LUTTE. 

Face à l'obstination des assécheurs du Marais et au moment où les dirigeants français
tenteront de faire oublier leur inaction climatique à Glasgow, début novembre, 
à l’occasion de la COP26, les collectifs Bassines Non Merci !, la Ligue pour 
la Protection des Oiseaux, la Confédération paysanne et les Soulèvements de la Terre,
appellent à manifester pour l’arrêt immédiat des chantiers de « méga-bassine » et 
pour un partage juste de la ressource en eau. 
                
               Rendez-vous Samedi 6 novembre 2021
                   Place du Champ de foire 
                    A Mauzé-sur-le-Mignon 

      à partir de 12h, autour d’un grand banquet paysan et citoyen. 

Le banquet sera suivi d’une manifestation** ponctuée de temps forts et de concerts 
(lieu et programmation à venir). 

**Vous êtes invité.e.s à venir vêtu.e.s de votre plus beau bleu de travail, 
coiffé.e.s de votre plus beau casque ou chapeau bleu, et muni.e.s de votre plus 
beau parapluie. 

                         No bassarán ! 

* Les « méga-bassines », c’est quoi ? 

Les « méga-bassines », ce sont des infrastructures de stockage hydraulique, 
aux allures d’énormes cratères plastifiés - d’une surface moyenne de 8 hectares 
(les plus grandes allant jusqu’à 18 ha), décaissées jusqu’à 8 mètres, la matière 
extraite servant à élever autour des digues de plus de 10 mètres, qui doivent 
permettre à l’agro-industrie de concilier raréfaction de la ressource en eau et 
maintien de l’irrigation intensive dans un contexte de dérèglement climatique. 
La survie du modèle agricole productiviste-toxique, basé sur l’usage massif de 
pesticides, en dépend. 

Face au manque d’eau chronique, l’objectif de ces « méga-bassines » n’est pas de 
réduire les volumes d’eau pompés sur l’année mais de contourner les restrictions 
de pompages imposées l’été. Le principe est de substituer les pompages réalisés 
en période de « basses eaux » (printemps/été) par des pompages en nappes souterraines
en période de « hautes eaux » (automne/hiver), au prétexte qu’il existerait 
un surplus d’eau l’hiver. 

Seulement, si la pluviométrie est insuffisante, ces pompages hivernaux diminueront 
les débits des cours d’eau précisément au moment où il est vital pour l’ensemble 
du réseau hydrographique - plans d'eau, cours d'eau, nappes phréatiques, zones 
humides, etc. - d’être alimenté. Ces pompages porteront par conséquent préjudice 
aux milieux, à la ressource en eau et à la biodiversité. 

L’accaparement de cette ressource, commune et nécessaire à l’ensemble des êtres 
vivants, par une poignée d’agro-industriels (4 % des exploitants agricoles) aura 
pour effet d’accentuer, non seulement l’asséchement des bassins versants, mais 
également la dynamique d’accaparement des terres et donc les inégalités au sein 
du monde agricole. 

Le gouvernement continue malgré tout de soutenir ce modèle à grand renfort d'argent 
public (80% via les agences de l’eau, la région, le département, etc.) et à 
le présenter comme une solution « miracle » pour l’agriculture productiviste. 
Dans les années à venir, ces projets de réserves d’eau risquent de se généraliser 
à l’ensemble du territoire national : validés comme stratégie majeure d’adaptation 
au changement climatique par l’actuel ministre de l’agriculture, J. Denormandie, 
dans le cadre du « Varenne Agricole de l’Eau », en juillet 2021, 1 000 projets 
pourraient voir le jour d’ici 2025 ! 

Pour l’instant, cette entreprise d’accaparement se heurte à une forte opposition. 
Des paysan.ne.s, des riverain.ne.s, et plus d’une trentaine d’organisations 
politiques, syndicales, et associatives, fédérées au sein des collectifs citoyens 
Bassines Non Merci ! (BNM), s’organisent depuis quatre ans pour bloquer ces projets.
Avec le démarrage du premier chantier début septembre, une nouvelle phase décisive 
de la lutte s’ouvre. 

Il est vital de les arrêter au plus vite !

Documentaire-débat « Main basse sur l’eau » JEUDI 18 NOVEMBRE 2021 à 20h15 au Cinéma Le Rex à Mamers

Dans le cadre du Festival des Solidarités 2021, l’association sarthoise du Mnle organise la projection d’un documentaire en collaboration avec Cinémamers.

« Main basse sur l’eau »

réalisé par Jérôme Fritel, écrit avec Patrice des Mazery,

coproduit par Arte France et Magnéto Presse, 2019, 87 min.

Le prometteur marché de l’eau s’annonce comme le prochain casino mondial. Les géants de la finance se battent déjà pour s’emparer de ce nouvel « or bleu ». Jérôme Fritel mène une enquête glaçante sur la prochaine bulle spéculative. En Australie, continent le plus chaud de la planète, cette marchandisation de l’eau a déjà acculé des fermiers à la faillite. La Californie imite ce modèle. En Europe, face à cette offensive amorcée en Grande-Bretagne sous Thatcher, la résistance citoyenne s’organise pour défendre le droit à l’eau pour tous et sanctuariser cette ressource vitale limitée.

Débat animé par Jean-Paul Martel du MNLE Pays de Loire, Un représentant de la ligue des droits de l’Homme de Mamers, Dominique Campagna du MPCAS/MNLE72 .

https://terrehumaine72.blog4ever.com/festival-des-solidarites-2021

Programme festisol 2021 en Sarthe

Inscription – Rencontre « Ville – Espace Public – Habitat  » les 19 et 20 Novembre à Marseille

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Les 19 et 20 Novembre 2021

Le MNLE Réseau Homme&Nature, la Revue Naturellement et la Mairie de secteur 1er-7eme de Marseille vous invite à une Rencontre sur les thèmes « Ville – Espace public – Habitat »

Lieu : Espace Louis Battinelli, 12 rue des lices 13007 Marseille

Inscription nécessaire pour pouvoir participer à cet évènement, pour cela veuillez remplir le formulaire ci-dessous :

     

    Samedi 16 octobre 2021 à 15 heures – Invitation à une réunion débat à Breil sur Roya sur l’impact de l’homme sur la biodiversité

     

     

     

    RÉUNION-DEBAT PUBLIQUE

    SAMEDI 16 OCTOBRE

    de 15h à 18h

    Salle Sainte-Catherine

    BREIL SUR ROYA

    L’IMPACT DE L’HOMME SUR

    LA BIODIVERSITÉ

    Et maintenant :
    Quels aménagements ? Quels transports ? Quelles énergies ? Quels emplois ?
    avec Christian PELLICANI, président du MNLE
    et Gérard PIEL, président du MNLE-PACA

    Le livre « l’impact de l’anthropisation sur la biodiversité et les écosystèmes » sera présenté à cette occasion

    contact : MNLE.06@orange.fr

    Invitation à une conférence avec André PRONE – Samedi 30 octobre 2021 à 16 h à la médiathèque de Martigues autour de l’ouvrage collectif : Impact de l’anthropisation sur la biosphère

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    La Médiathèque de Martigues et les Editions Emile Communication, vous invitent à participer à une conférence débat, le 30 octobre à 16 heures animée par André Prone, président du conseil scientifique du MNLE Réseau Homme et Nature, sur les questions liées à l’environnement, autour du livre collectif : Impact de l’anthropisation sur la biosphère: biodiversité et fonctionnement des écosystèmes.
    Venez nombreux, les thèmes abordés sont importants et urgents…
    Pour en savoir plus : CONFERENCE MARTIGUES