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3ème Festival entre nos mains Guenrouët 12/13 oct 2019

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    Nos amis-es de MSEC (Missillac Solidaire, Ecologique et citoyenne) communiquent:

    Flyer 3ème Festival NDG et Guenrouet 2019

    3ème FESTIVAL
    DEMAIN ENTRE NOS MAINS
    Les 12 et  13 octobre 2019
    Salle polyvalente
    Notre Dame de Grace à Guenrouet
    Conférences/débat -documentaires –
    Stands de sensibilisation –
    Animations enfants-adultes -Repair’café -Gratiféria –
    Marché d’artisans et de producteurs locaux -jeux
    Concert « Demain Entre Nos Mains »
    créé par Philippe Miko
    Merci à tous ceux qui nous ont apporté leur soutien pour ce 3”festival.
    Et merci à tous les bénévoles et adhérents.
    et 3 écoles locales
    ENTRÉE BAR
    PRIX RESTAURATION
    LIBRE SUR PLACE
    Renseignements 0659346785 ou sur Facebook

     

    Le vendredi 4 octobre 2019 : « nous voulons des coquelicots »

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      Comme  le premier vendredi de chaque mois, des rassemblements « nous voulons des coquelicots » ont lieu dans toute la France pour appeler à signer la pétition pour l’interdiction des pesticides de synthèse. Pour connaitre les rendez vous dans votre région allez sur le site nous voulons des coquelicots

      https://nousvoulonsdescoquelicots.org/

      Notre comité organise le rassemblement de Mamers dans la Sarthe de 16h30 à 19h30 sous la halle place Carnot.

      VENEZ NOMBREUX NOUS REJOINDRE à la table du MPCAS/MNLE

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      NON A EUROPACITY – OUI AU PROJET CARMA – Marche citoyenne de Gonesse à Matignon du 4 au 5 octobre 2019

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       Pour sauver les terres fertiles de Gonesse

      Une marche citoyenne est organisée
      du 4 au 5 octobre 2019 de Gonesse à Matignon.
      Départ de la marche le vendredi 4 octobre du triangle de Gonesse, chemin de la Justice
      Arrivée à Matignon le lendemain, samedi 5 octobre

      Pendant ces 2 jours, plusieurs points de rencontre sont prévus pour permettre à chacun selon ses possibilités de participer à l’action.

      Pour connaître ces points de rencontres, cliquez sur le lien ci-dessous :                          Tract-Marche-Citoyenne-de-Gonesse-à-Matignon_compressed

      Le 21 septembre, Journée internationale de la Paix

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          Colombe, La Paix, Unité, Liberté, Symbole, Oiseau  Samedi 21 septembre 2019
        JOURNÉE INTERNATIONALE DE LA PAIX

        Le MNLE s’associe à toutes les initiatives qui se dérouleront partout en France et dans le monde entier, dans le cadre de la Journée internationale de la Paix et de mobilisations mondiales pour le climat.

        Venez nombreux marcher pour la Paix et le Climat.

        A Paris, Attention changement d’heure et de lieu : départ de la marche à 13h Place Edmond Rostand à l’angle de la rue Soufflot et du Boulevard St-Michel (RER Luxembourg)

        A Marseille, les voiles de la Paix en Méditerranée vous accueilleront sur le Vieux Port, à l’Estaque, à la Pointe Rouge, au Frioul…

        Vous pouvez retrouver les initiatives de votre région sur le site :
        https://www.21septembre.org

        Le MNLE est adhérent d’ I CAN, prix Nobel de la Paix en 2017.

         

         

         

         

        Conclusions 24e université d’été du MNLE Réseau Homme&Nature

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          Conclusions 24e université d’été du MNLE Réseau Homme&Nature

          Santé / Environnement / Alimentation

          L’agriculture est une activité humaine qui modifie profondément les écosystèmes afin de produire des ressources (principalement alimentaires) utiles aux humains. Elle occupe une proportion importante des surfaces de terres émergées, avec des conséquences majeures sur les sols et la biodiversité.

          À partir de 1945, l’augmentation de l’utilisation des engrais minéraux, l’apparition des pesticides, le développement de l’irrigation (dans le cadre de la révolution verte, notamment) et la mécanisation de l’agriculture ont fortement augmenté les impacts environnementaux de l’agriculture. Les impacts environnementaux de l’agriculture contemporaine s’étendent au-delà des écosystèmes agricoles, et incluent la pollution des eaux et de l’air, la contribution au changement climatique. La modification des pratiques agricoles a également des impacts paysagers.

          Nous faisons le constat que l’Europe et l’Etat Français ne se donnent pas les moyens de faire appliquer les règlements et lois en matière d’interdiction et de contrôle de l’usage des pesticides et l’emploi de divers additifs alimentaires.

          Dans le cas de la délibération de la mairie de Langouët, en Bretagne, interdisant l’usage des pesticides à moins de 150 mètres des habitations de sa commune, on mesure la duplicité du pouvoir, des dirigeants du syndicat majoritaire la FNSEA et des industriels. L’encadrement des zones d’épandages proposé par Emmanuel Macron en attendant une nouvelle loi illustre cette politique de l’esquive que nous avons connue au moment du débat sur le Glyphosate avec les manœuvres en recul du ministre en exercice.

          Le dossier EuropaCity d’Auchan sur les terres agricoles à Gonesse avec le soutien de l’Etat qui utilise ses services contre le projet alternatif du groupement associatif CARMA* confirme ce double langage : « Verdir le discours pour surfer sur les aspirations de l’opinion publique en poursuivant la même politique emballée dans un sucre vert »

          Les mobilisations citoyennes et associatives comme à Notre-Dame-des-Landes, sur le triangle de Gonesse, contre les projets de bassines dans les Deux-Sèvres…  se développent et doivent prendre corps sur d’autres territoires.

          Nous pouvons faire autrement pour produire et consommer :

          Une alimentation plus saine, durable et bio ne se limite pas aux impacts environnementaux, mais intègre également des aspects sociaux et économiques. L’alimentation intègre les dimensions suivantes :

          • L’accès à une alimentation de qualité pour tous, au niveau planétaire, c’est à dire à une alimentation diversifiée, saine et équilibrée qui répond aux besoins vitaux et contribue au bien-être et à la santé.
          • Le droit à la souveraineté alimentaire, c’est-à-dire le droit des peuples à définir leurs propres politiques et stratégies de productions alimentaires durables, et de consommation, sans dumping.
          • La réduction des impacts environnementaux tout au long du cycle de vie, du champ à la fourchette et la prise en compte de l’empreinte écologique des modes alimentaires.
          • Le maintien optimal de la fertilité des sols et de la biodiversité, le respect et bien-être des animaux d’élevage, sans recours aux organismes génétiquement modifiés, aux pesticides, aux additifs alimentaires et aux perturbateurs endocriniens.
          • La consommation de produits locaux et de saison. La diffusion et l’échange des cultures culinaires, la transmission des savoirs traditionnels et la promotion de la créativité, la découverte des goûts et des saveurs, afin de diminuer le recours aux aliments ultra transformés (AUT).
          • Le respect des droits sociaux et humains tout au long des chaînes de production et de distribution, garantissant une juste rémunération des producteurs au nord comme au sud selon les préconisations du commerce équitable.
          • Le maintien et le développement de l’agriculture paysanne, de l’artisanat, des circuits courts et de proximité, ainsi que le développement de relations de confiance entre producteurs et consommateurs.
          • La transparence des pratiques, la visibilité et la traçabilité, l’information des consommateurs. La création de liens sociaux et conviviaux par l’alimentation.

          Nous devons avoir la même attention et exigence concernant les industriels de l’agro-alimentaire et de la grande distribution.

          Nous proposons de soutenir les expériences de création et développement des SCOP et réseaux alternatifs de distribution de proximité : circuits courts, accès aux AMAP…

          Dans les débats sur les « communs et biens communs » nous posons la question de la gestion des centrales d’achat et de la grande distribution par la constitution de groupements publics, qui devraient à notre sens être administrés à parité par les producteurs, les consommateurs, les élus locaux et les scientifiques …

          SAINT-JEAN-D’AULPS le 31 AOUT 2019

          *CARMA : Coopérative pour une Ambition agricole, Rurale et Métropolitaine d’Avenir

          Selon la définition de l’OMS – Conférence d’Helsinki – 1994 :

          « La santé environnementale comprend les aspects de la santé humaine, y compris la qualité de la vie, qui sont déterminés par les facteurs physiques, chimiques, biologiques, sociaux, psychosociaux et esthétiques de notre environnement.

          Elle concerne également la politique et les pratiques de gestion, de résorption, de contrôle et de prévention des facteurs environnementaux susceptibles d’affecter la santé des générations actuelles et futures »

          Plus simplement, la santé environnementale est la prise en compte de l’impact des polluants sur la santé, qu’ils soient locaux ou globaux. Par exemple, la qualité de l’air est considérée sous l’aspect de l’air intérieur jusqu’à l’aspect planétaire avec les conséquences du réchauffement climatique.

          Fête de l’Humanité

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          Les 13, 14 et 15 septembre 2019, nous serons présents à la
          FETE DE L’HUMANITE
          Parc Départemental Georges VALBON
          La Courneuve
           
          Venez nous rencontrer à notre stand, 
          dans le village de l’économie sociale et solidaire.
          Avenue Julien LAUPRETRE
          proche de l’entrée « LA COURNEUVE »

           

          Agriculteurs, territoires et sécurité alimentaire en danger

          L’adoption du CETA*, grâce à la complicité active ou passive des parlementaires LREM, UDI et Modem, met en danger le monde agricole, les territoires et notre sécurité alimentaire.

          Malmené depuis les années 1950 le monde agricole voit le nombre des exploitations fondre : de 2.3 millions en 1955 il n’en reste que 448 500 en 2018.

          Nombre de suicides touchent ces travailleurs, poussés à toujours plus de productivisme et de rendement, sans pour autant pouvoir en vivre dignement.

          Nombreux aussi sont ceux frappés par les maladies professionnelles dues à l’usage de produits toxiques. La perte de biodiversité, la détérioration des paysages et de la qualité des sols, la destruction de terres agricoles accompagnent ces drames humains et sociaux.

          Sans entrer dans les détails techniques, rappelons que le CETA, c’est la porte ouverte à des importations toujours plus grandes de produits alimentaires n’offrant pas les mêmes garanties sanitaires qu’exigées de nos producteurs locaux (antibiotiques, hormones, types d’alimentations pour le bétail….).

          Déjà à l’intérieur de l’Europe, il y a une grande distorsion de concurrence entre les
          travailleurs, conséquence du traité de Maastricht et de la libre circulation des biens et des personnes. Avec ce nouveau traité, on met encore plus la pression sur les prix à la production au détriment de la qualité.

          Lors des états généraux de l’alimentation le Président de la République disait vouloir apporter du revenu dans les cours de ferme. Mais depuis, toutes les lois et toutes les procédures mises en place vont à l’encontre de cet engagement. On s’aperçoit que l’agriculteur est toujours mis en concurrence avec des marchés qu’il ne peut pas concurrencer. La qualité a un prix. La recherche permanente du « moins cher », nos producteurs ne peuvent l’assurer sans dégrader à leur tour la qualité de leurs produits. Menace également aggravée avec le maintien de l’autorisation de l’usage des pesticides et autres glyphosates.

          L’intégrité sanitaire de ces agricultures productivistes est nullement garantie.

          Le MNLE Réseau Homme&Nature abordera toutes ces questions à l’occasion de son université d’été sur le thème

          « Environnement/Santé : Alimentation » du 24 au 31 août à St jean d’Aulps en Haute Savoie.

          déclaration du MNLE sur le CETA

          *L'accord économique et commercial global (AECG), ou Comprehensive Economic and Trade
          Agreement (CETA), est le traité établi entre le Canada d'une part, et l'Union européenne 
          et ses 28 États membres dont le Royaume-Uni