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« Nous voulons des coquelicots » vendredi 3 mai 2019 de 16h30 à 19h30 sous la Halle de Mamers.

C’était le 5 avril 2019 à Mamers.

Comme chaque premier vendredi du mois, nous serons sous la halle de Mamers pour faire signer des pétitions, discuter autour de thés, d’infusions, de cafés, de soupes bio ou de verres de vin chaud.

Nous distribuerons des graines de coquelicots pour resemer sur les chemins, sur les jardins publics.

Ce rendez-vous mensuel organisé par MPCAS/MNLE72 et SEVE72 est toujours placé sur le signe de l’optimisme et la bonne humeur malgré le sujet grave qui nous rassemble l’interdiction des pesticides de synthèse.

Grand Merci à Paul François cet agriculteur céréalier qui lutte depuis 12 ans contre Mosanto après son empoisonnement à l’herbicide « Le  Lasso » et qui vient de gagner pour la deuxième fois en cours d’appel. Il montre l’exemple !!! Le passage au Bio devrait être un passage obligé. Il faut réorienter la PAC vers une agriculture respectueuse de l’environnement. Macron n’en prend pas le chemin bien au contraire, il cède sous la pression de l’industrie agroalimentaire et de la chimie. La mobilisation reste plus que jamais nécessaire.

Le vendredi 5 avril 2019 de 16h30 à 19h30 à Mamers, « Nous voulons des Coquelicots »

Le Printemps est arrivé et nous voulons voir refleurir des coquelicots dans les champs et sur les bords de chemins.

Notre mouvement prend de l’ampleur.

On en parle de plus en plus. Plus personne n’ose nier les effets dévastateurs des pesticides. Tout le monde doit être mobilisé. C’est un problème de santé publique.

Vendredi 5 avril 2019

sous la halle de Mamers

de 16h30 à 19h30

Les deux associations SEVE72 et MPCAS/MNLE72 organisent sous la halle une soirée animation, musique, discussions, signatures de pétition autour de la soupe bio, du vin chaud, de thés, d’infusions et de cafés.

Venez nombreux, c’est sympa et c’est pour une bonne cause.

Chacun peut amener quelque chose à manger, à montrer, ou à partager. Des graines de coquelicots…

Les armateurs comme Grimaldi: si possible passer entre les mailles du filet ou pas vu pas pris ou le silence des abîmes….

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    This handout picture released on March 12, 2019 and taken on March 11 by the French Marine Nationale shows flames on the Italian merchant ship Grande America off the coasts of the French Brittany. - The crew of the Royal Navy grigate HMS Argyll has saved all 27 members aboard the Italian cargo ship after its containers and cars caught fire off the coast of France. The ship's crew were unable to fight the flames and were abandoning the ship. (Photo by LOIC BERNARDIN / MARINE NATIONALE / AFP) / RESTRICTED TO EDITORIAL USE - MANDATORY CREDIT "AFP PHOTO /LOIC BERNARDIN/ MARINE NATIONALE" - NO MARKETING - NO ADVERTISING CAMPAIGNS - DISTRIBUTED AS A SERVICE TO CLIENTS - NO ARCHIVES

    Le « Grande América », cargo et porte-conteneurs de 213 m de longueur , propriété de l’armateurt italien Grimaldi, connu pour posséder une flotte vieillissante, des navires souvent rénovés pour pouvoir naviguer et augmenter l’emport, gît par 4000 m de fonds, dans le golfe de Gascogne depuis le 12 mars 2019.

    Le navire, parti d’Anvers avec une cargaison complexe, faisait route vers son escale africaine le Port Hub de Casablanca (Maroc) avec 365 conteneurs, dont 45 répertoriés « matières dangereuses pour certaines auto-inflammables, probablement pas sécurisés en cale et un peu plus de 2 000 voitures et de très gros matériels de travaux public.

    Les rythmes et conditions de chargements laissent peu de place au contrôle du chargement. Ainsi le commandant du navire avec un équipage non formé aux risques toujours nouveaux des conteneurs, sous pression de l’armateur, va prendre des risques qui, face à une cumulation de facteurs, peuvent conduire à la catastrophe.

    L’intervention des marins embarqués n’a pas permis de circonscrire l’incendie, apparu le 10 mars 2019 parmi les conteneurs. Devant la situation et la dégradation des conditions atmosphériques, leur évacuation s’est avérée nécessaire.

    Malgré la mobilisation de moyens d’intervention en zone internationale, le navire a dérivé vers les côtes françaises et a coulé, envoyant vers le fonds, toute la cargaison et les 2 200 tonnes de fioul lourd en soute. Actuellement, quatre navires tentent d’absorber les nappes de fuel lourd avant qu’elles atteignent les côtes françaises. L’armateur, qui a en charge le dispositif de sécurité des ponts et des cales, fait le « minimum », avec le navire Union Lynx, sur zone afin de récupérer d’éventuels conteneurs qui remonteraient à la surface, certain contenant des matières dangereuses.

    Depuis l’Erika, si les pétroliers poubelles se font plus discrets, (condamnation de Total pour préjudice environnemental) les portes conteneurs et autres navires ont largement pris le relais, équipages peu formés, navires vieillissants, entretien minimum pour être autorisés à naviguer, abordage, défaillances techniques, non respect des règles de sécurité, équipages. Les grands ports comme Anvers, pratiquent l’optimisation du remplissage des conteneurs. Cette méthode, d’apparence concevable, augmente les risques avec des cargaisons à la traçabilité douteuses particulièrement préjudiciables, en cas de naufrage, pour la faune, la flore, biodiversité et le milieu marin. Ni le hasard, ni les aléas météo ne sont les causes des catastrophes, mais la fragilité des équipages, l’état des navires, les dérapages du gigantisme des navires. La limitation du temps pour les chargements laissent le passage aux trafics illégaux et aux marchandises dangereuses non sécurisées

    Les trois nappes de fuel lourd repérées devraient atteindre nos côtes sous une dizaine de jours.

    Le MNLE, ne peut se satisfaire des propos du Ministre de la transition écologique François de Rugy, qui comme un enquêteur est rivé sur les constats, minimisant la gravité d’une multiplication de au plan de plusieurs sources de pollutions issues du naufrage.

    L’armateur Grimaldi est le premier responsable du naufrage et devra en assumer les conséquences, y compris les condamnations qui pourraient en découler, sa responsabilité d’abord et les manquements qui commencent à être formalisés1, devront si nécessaires conduire à une lourde et exemplaire condamnation.

    Après avoir mal encaissé la demande d’enquête du Commissariat aux Droits de l’Homme pour restrictions graves aux droits des manifestants et s’être réjouie de la nomination de Brune Poirson élue vice-présidente de l’Assemblée des Nations-unies pour l’environnement, le gouvernement, souvent donneur de leçons, est en charge de la sûreté et sécurité maritime. Il va bien falloir qu’ils prennent ses responsabilités. Avec 5500 kms de linéaires de côtes, à quelques mois des Élections Européennes notre pays doit clairement se positionner afin que cesse en France et en Europe le laxisme et les négligences au plan du transport maritime.

    St Herblain le 26 mars 2019.

    1 Des contrôles sont actuellement opérés sur d’autres navires de l’armement Grimaldi

    NAUFRAGE AU LARGE DE LA ROCHELLE

    Naufrage au large de La Rochelle

    | Naufrage au large de La Rochelle : les premières pollutions attendues.

    La mobilisation citoyenne sera utile pour limiter les dégâts sur le littoral et les agressions sur la faune.

    Dans la nuit du 10 au 11 mars, un incendie s’est déclaré à bord d’un porte-containers battant pavillon italien, le « Grande America », qui faisait route de Hambourg à Casablanca. Alerté, le Centre Régional Opérationnel de Surveillance et de Sauvetage (CROSS) d’Etel sauve alors les 27 membres d’équipage.

    Mais un deuxième incendie survenu à bord n’a pas pu être maîtrisé.

    Une fois de plus on peut se poser la question : est-ce une poubelle flottante qui naviguait au large de nos côtes ?

    Les communes, les services de l’état et les habitants se préparent au pire le long du littoral. En attendant l’armateur fait la sourde oreille à la mise en demeure des autorités maritimes françaises. « Le vice-amiral a envoyé « une nouvelle mise en demeure » à l’armateur du Grande America, Grimaldi Group, pour lui demander de prendre ses responsabilités, notamment en présentant au plus vite un plan d’actions visant à investiguer l’épave pour évaluer l’étendue des dégâts et à prendre des mesures pour limiter au maximum les risques de pollution. »

    Les manifestations sur le climat, la mobilisation européenne de notre jeunesse rappelle aux gouvernants qu’ils doivent faire plus et d’urgence en matière de préservation des milieux et ils proposent le changement de modèle économique.

    Rappelons-nous :

    la catastrophe de L’Erika (pétrolier battant pavillon maltais – pavillon de complaisance) construit en 1975 et arété par la société Total. Il avait fait naufrage au large de la Bretagne le 12 décembre 1999.

    Son armateur était Italien , celle de L’Amoco Cadiz qui était un pétrolier supertanker libérien lancé en 1974 pour la société américaine de transports pétroliers et chimiques Amoco afin de transporter du pétrole depuis le golfe Persique vers l’Europe. Son naufrage en mars 1978 en bordure des côtes bretonnes, à Portsall (Finistère), provoqua une marée noire considérée, aujourd’hui encore, comme l’une des pires catastrophes écologiques de l’histoire plus ancienne, celle du TORREY CANYON , le 18 mars 1967.

    Nous sommes en droit de nous interroger, au MNLE, sur les mesures préventives mises en œuvre pour en éviter d’autres !

    Là, nous avons la démonstration, une fois de plus, que l’on ne peut pas laisser les entreprises sans contrôle, car elles ne respectent pas les règles en matière de construction de navire, ni les normes environnementales et sociales.

    C’est une « crise majeure », selon la préfecture maritime de l’Atlantique, qui se joue actuellement au large de la côte charentaise. Et il est à craindre que les moyens mis en œuvre pour endiguer cette nouvelle marée noire soient bien insuffisants.

    Nos futurs députés européens, élus lors des élections de mai prochain devront remettre sur le métier du parlement les questions des autoroutes de la mer et de la relance de la construction de navires capables de transporter les différents frets en respectant le milieu maritime.

    En attendant, la mobilisation citoyenne sera de nouveau utile pour limiter les dégâts sur le littoral et les agressions sur la faune et la flore, sans oublier les conséquences sur les professionnels concernés (pêche, conchyliculture, ostréiculture…).

    MNLE Réseau Homme&Nature

    Appel à manifester pour le climat le samedi 16 mars 2019

     

    APPEL DU M.N.L.E. A MANIFESTER LE 16 MARS 2019 PARTOUT EN FRANCE

    Depuis près de 40 ans, le Mouvement National de Lutte pour l’Environnement défend la qualité de vie sur la terre, nécessitant la protection de notre environnement. Nous nous félicitons donc que l’opinion publique développe sa sensibilité à ces questions.

    Une nécessaire et urgente transition énergétique limitera les effets d’une évolution climatique néfaste pour l’humain comme pour son environnement. Il faut pour cela des mesures fortes et immédiates, que les gouvernements du monde ne prennent pas, tant ils sont plus préoccupés de dividendes que d’environnement.

    Il convient que la transition énergétique soit totalement sociale, et la place des services publics en énergie est essentielle à la péréquation des moyens et des tarifs.

    Le développement des circuits courts, tant pour l’alimentation que pour les biens de consommation (à utiliser sans gaspillage), suppose la préservation des terres agricoles (en particulier dans le triangle de GONESSE pour l’Ile de France). Le maintien d’une agriculture paysanne, et la réindustrialisation de notre pays intégrant des process de fabrication propres en sont aussi les clefs. Et une gestion citoyenne de toute production devrait s’imposer.

    Pour infléchir les politiques gouvernementales et industrielles catastrophiques, il est bon que l’ensemble des citoyens se retrouvent sur ces valeurs communes d’environnement.

    Nous vous invitons donc à vous joindre aux manifestations

    organisées partout en France ce SAMEDI 16 MARS 2019.

    PARIS, le 11 mars 2019

    1ere étape du Tour de France de la Transition énergétique : Rencontre avec Emile Tornatore, ancien Maire du Broc (06)

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    Le MNLE Réseau Homme&Nature a commencé son Tour de France vendredi 15 février 2019 par une rencontre autour de l’Olivier entre Emile Tornatore, ancien Maire du Broc, et Albert Roumieu, auteur de « l’Olivier Passionnément ». La réunion débouche sur la présentation d’une réalisation de développement durable et de production d’énergie alternative au Fioul et Gaz.

    Cette commune des Alpes-Maritimes chauffe des bâtiments publics aux noyaux d’olives… et en vend aux particuliers.

    En 2005, en installant une chaudière à bois pour chauffer le moulin, pôle culturel et crèche, la commune avait déjà innové dans les énergies vertes.
    Elle a franchi un nouveau pas cette année : dans la chaudière, on ne brûle plus des pellets, granulés de bois recyclé achetés jusque-là, mais les noyaux des olives pressées au moulin. Une énergie verte, ressource gratuite, sans même le coût carbone du transport : le moulin est à proximité immédiate de la chaudière.

    Techniquement, c’est l’installation d’un séparateur à grignons qui permet de les récupérer après l’extraction de l’huile : seule la pulpe part désormais en compostage au Centre de valorisation organique.

     

    « Les Sentinelles » CINÉ DÉBAT – COMBIEN DE TEMPS ENCORE VA-T-ON SE LAISSER EMPOISONNER ?

     

    CINE DEBAT  

    COMBIEN DE TEMPS ENCORE VA-T-ON SE LAISSER EMPOISONNER ?

     VENDREDI 1er mars à 19h30

    au cinéma Le REX à MAMERS(72600)

    Projection du film documentaire « Les Sentinelles » suivi d’un débat avec les associations MPCAS/MNLE72, ADEVA72 et SEVE72.

    Josette Roudaire et Jean-Marie Birbès étaient ouvriers, en contact avec l’amiante. Paul François, agriculteur, a été intoxiqué par un pesticide de Monsanto, le Lasso. Henri Pézerat, chercheur au CNRS, a marqué leurs vies en les aidant à se battre pour que ces crimes industriels ne restent pas impunis… La justice s’est-elle prononcée pour les responsables du grand mensonge de l’amiante ? Que fera-t-elle pour ceux de la catastrophe annoncée des pesticides ?

    « Main basse sur l’énergie » un film réalisé par Gilles Balbastre

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    « Main basse sur l’énergie » démontre comment les énergies renouvelables (éoliennes, solaires) s’installent sur le territoire grâce à une nouvelle taxe, la Contribution au Service Public de l’Électricité, (CSPE), payée par tout un chacun à travers sa facture d’électricité et au bénéfice d’une poignée d’affairistes.

    « Main basse sur l’énergie » alerte à la privatisation des barrages hydrauliques et à un nouveau vol d’un bien public en faveur de multinationales.

    « Main basse sur l’énergie » confirme l’explosion des prix de l’énergie depuis l’ouverture à la concurrence en 2007 (+35% pour l’électricité, plus de 70% pour le gaz) et souligne la présence de 10 à 13 millions de précaires en France.

    « Main basse sur l’énergie » souligne la fin des boutiques accueil usagers EDF qui permettaient de régler des litiges, étaler des paiements, informer sur ses droits.

    Soit 30 ans de dérégulation libérale de l’Économie

    Pour voir le film Cliquez ici –> www.mainbassesurlenergie.com

    Pour plus d’informations un entretien donné à « Le Média » Cliquez ici –> Énergies renouvelables, le casse du siècle

    Lancement du Tour de France de la Transition Énergétique

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    POUR UNE VRAIE TRANSITION ÉNERGÉTIQUE, ÉCOLOGIQUE ET SOCIALE

    L’actualité nationale, avec la PPE (Programmation Pluriannuelle de l’Energie), nos propres activités, où les questions de l’énergie sont très présentes (notre colloque des 23 et 24 mars dernier fut très instructif), nous amènent à nous positionner officiellement sur cette question de la transition énergétique.

    Une vingtaine d’associations ont déposé hier en préfecture une motion pour demander le retrait d’une proposition de loi pour prévenir les violences en manifestation.

    Article publié par OUEST FRANCE  le 28/01/2019 à 22h50

    « Une vingtaine d’associations ont déposé hier en préfecture une motion pour demander le retrait d’une proposition de loi pour prévenir les violences en manifestation.

    Elles sont une vingtaine d’associations à l’avoir signé, de la Ligue des droits de l’homme, à la Fédération des motards en colère, en passant par la Ligue de l’enseignement. Une motion a été déposée ce lundi soir, 28 janvier, en préfecture, adressée au Premier ministre. Elle demande le retrait d’une proposition de loi signée Bruno Retailleau. Celle-ci vise à « prévenir les violences lors des manifestations et à sanctionner leurs auteurs ».

    Les signataires de la motion y voient surtout une atteinte grave aux libertés publiques. Pour eux, « ce projet écarterait toujours plus la justice au profit de pouvoirs administratifs exorbitants. Fichage des manifestants, interdiction individuelle de manifester, obligation de pointage sont autant de signes de la poursuite d’une logique de suspicion généralisée et de contrôle social ». Le projet de loi doit être examiné ce mardi 29 janvier.

    Loi anti-violences : des associations nantaises demandent le retrait »

    Le MNLE PDL fait parti évidemment des vingt associations…