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Connaître Comprendre Agir – Retour en images sur les 2 jours de formation

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    Le premier épisode de la série de formations « Connaître – Comprendre – Agir » s’est déroulé ce week-end. Divers thèmes ont été abordés autour de l’environnement institutionnel, réglementaire et financier des associations.

    Le bilan de ces deux jours de formations s’annonce positif. De nombreux participants se disent enrichis par cette expérience et prêts à concrétiser une grande variété de projets au sein de leurs associations respectives.

    Fort de cette expérience, nous vous donnons rendez-vous bientôt pour une nouvelle session de « Connaître – Comprendre – Agir »

    Non à EuropaCity – Rendez-vous le dimanche 21 mai

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    Concours Artistes 2017 – Les Fontaines publiques

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      Quelle place pour l’eau dans l’espace public ?
      Afin d’apporter des réponses à cette question nous organisons un concours
      des « Fontaines publiques ».
      Ouvert à toutes et tous
      Peinture, dessin, photographie, gravure, sculpture (…)

      Le concours des « Fontaines Publiques » a lieu du 22 mars 2017 au 22 mars 2018.
      Organisé par le MNLE Réseau Homme&Nature, la Revue Naturellement, Eau Bien Commun et l’association Citoyen13.

      Les candidats auront 6 mois pour réaliser leurs œuvres. L’association sollicitera les communes afin d’engager un partenariat pour la réalisation d’une pièce d’eau qui s’inspirera des meilleures propositions. Un projet technique sera remis le 10e mois et le 22 mars 2018 nous lèverons un verre autour de la réalisation . A cette occasion les prix seront remis aux lauréats du concours « des Fontaines Publiques ». Le lieu est en recherche dès maintenant.

      La Revue Naturellement donnera régulièrement des nouvelles du concours

      Inscription en suivant ce lien via le Portail du Réseau Homme&Nature

      Environnement institutionnel, réglementaire et financier – Formation 7 et 8 avril à Montreuil

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        Cette  première  formation  dans  le  cadre  « Connaître  –  Comprendre  –  Agir » abordera l’environnement  institutionnel  et  réglementaire  et  financier  des  associations.  Cet environnement change avec la mise en œuvre de la loi NOTRe et les politiques de réduction des  finances  des  collectivités  locales.

          L’austérité  budgétaire  assèche  les  capacités d’interventions des communes, des départements et des régions. Pour de nombreux acteurs de l’économie sociale et solidaire l’impact se traduit par l’abandon de projets et la réduction de la masse salariale des structures avec la perte de savoir-faire.

        De nouveaux rapports se mettent en place entre le tissu associatif et les collectivités locales
        (charte  d’engagement  réciproque,  circulaire  « Valls »,  guide  sur  les  subventions…).  Les associations sont incitées à faire appel à la philanthropie pour compenser la diminution de l’engagement des pouvoirs publics (collectivités locales, état).

        Nous  vous  proposons  au  travers  de  ces  deux  journées  d’examiner  les  possibilités  de dépassement  des  difficultés  en  abordant  au  travers  de  quatre  demi-journées  :  la reconstruction de nos projets associatifs, l’examen du cadre règlementaires et fiscal actuel,
        les stratégies et outils de communication et la mutualisation des moyens.

        Avec  les  associations  nous  assistons  au  développement  « des  collectifs  citoyens »  qui interviennent  sur  les  questions  d’urbanism

        e  et  d’aménagement  du  territoire :  le  MNLE Réseau  Homme&Nature  s’est  engagé  contre  le  projet  « d’Europa  City »  au  travers  d’un collectif très large.

        Dans  ce  cadre,  nous  vous  invitons  à  la  conférence  de  Madeleine  Leveau-Fernandez, historienne et romancière, le  samedi 8 avril à 16h30* sur le thème :  « Banlieusards ! ».
        Cette  épithète  méprisante  a  été  lancée  pour  la  première  fois  en  1889  par  des conseillers municipaux  de  Paris  à  des  élus  des  communes  suburbaines  revendiquant  –déjà-  une  plus équitable répartition des charges et des revenus fiscaux entre Paris et sa périphérie. Le terme s’est banalisé mais sans que n’en disparaisse sa connotation péjorative.

        Les Français prennent conscience que les banlieues existent lorsqu’elles s’embrasent, lorsque de « jeunes casseurs » et les forces de police s’affrontent, lorsque les voitures brulent et que les magasins sont vandalisés.

        Et pourtant, les fortifs, la zone, la banlieue rouge, peuplée de mal lotis et de cités castors, puis les barres des grands ensembles comme les villes n

        ouvelles ont une histoire qui s’est élaborée aux marges et à l’ombre de la ville-capitale.

        L’industrialisation naissante, une forte croissance démographique, la construction des premières voies ferrées et, plus tard, le métropolitain ont joué un rôle déterminant dans le peuplement et l’extension des banlieues parisiennes.

        La banlieue : histoires d’exclusion ou conquêtes de nouveaux espaces ? Voyage à travers plus de deux siècles d’urbanisation au-delà des murs de Paris.

        Une  discussion  suivra,  animée  par  Jean-Claude  Boual,  avec  l’ambition  de  nous  permettre d’appréhender les questions du Grand Paris

        et de l’impact des projets comme l’exposition universelle et l’accueil des jeux Olympiques en 2024, sur le quotidien des Franciliens.

        *Samedi 8 avril à 16h30 : Conférence par Madeleine Leveau-Fernandez,    
          historienne et romancière,  sur le thème : « Banlieusards ! ».

        Merci, si possible, de vous inscrire par mail à : revue.naturellement@gmail.com

        LE PROGRAMME

        La région doit intervenir

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        Courrier adressé à Monsieur Gérard DARMANIN Vice-président Région Hauts de France

        Vous vous apprêtez à accepter un protocole d’accord avec la SNCF pour l’utilisation du futur barreau Creil-Roissy dont la réalisation reste vague. D’après le planning initial, l’enquête publique a été reculée d’un an. La signature d’un accord entre la SNCF et les Hauts de France serait sans doute de nature à consolider le calendrier mais la récolte reste maigre malgré un abondement régional important. 2 TGV et 4 TER par jour, c’est bien peu.

        Nous avions proposé à monsieur VIDALIES d’étudier une variante qui entre en synergie avec CDG Express. Il nous semble en effet que cette liaison nouvelle qui emprunte d’ailleurs en partie la voie Paris Laon, puisse être plus utilisée. Elle reste très contestée par les Franciliens qui supportent mal L’insuffisance du RER B et qui voit l’Etat faire en urgence débloquer des fonds propres par une SNCF qui est à la peine.

        Nous proposons d’étudier si CDG Express peut, dans le prolongement du barreau Creil Roissy, créer une nouvelle entrée picarde vers Paris Nord. Il est bien évident que la circulation sur ce barreau serait modifiée, que la Gare du Nord serait soulagée. L’économie du barreau Creil Roissy serait autre. Ce qu’il faut c’est pouvoir atteindre la gare TGV de Roissy, principal hub TGV, avec une bonne fréquence. Que soit en TGV ou non importe peu. Mettons un grand nombre d’Intercités et de TER. Le TGV est facultatif. Il peut se prendre à Roissy pour de nombreuses directions nationales et européennes. Le TGV mettra le même temps qu’un train classique faisant les mêmes arrêts pour rallier Roissy.
        Faut-il payer 10 millions par an pour l’orgueil de se poser sur un siège de TGV qui n’en est pas un ?
        Notre réponse est non. Il vaut mieux consacrer cet argent à assurer la continuité entre Creil Roissy et Roissy Charles de Gaulle dont il faut travailler immédiatement sur la faisabilité. Il s’agit sans doute de modifier la gare SNCF de Roissy. Mais de toute façon elle doit être transformée. Il ne faut pas oublier également que l’étoile ferroviaire d’Amiens-Longueau mériterait de passer à un niveau supérieur d’offre et d’organisation intermodale et multimodale. Ce serait là un œuvre utile.

        Dans l’espoir d’une réponse positive, je vous prie, Monsieur le Vice-président, d’agréer l’expression de nos meilleures salutations.

        François COSSERAT
        Président

        PS : je sollicite la présence de notre association à la réunion que vous
        organisez le 24 prochain à 11 heures.

        CDG express peut-il être une nouvelle entrée ferroviaire sur PARIS ?

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        CDG Express doit relier l’aéroport de ROISSY à la gare de l’Est. En fait les informations disponibles ne sont pas très précises, ni sur la place de la gare à Roissy, ni sur celle de Paris. Ce que l’on sait c’est que CGD Express est en concurrence avec des TER picards en provenance de Laon sur une ligne existante qui aboutit en gare du Nord. Il y a aussi un projet d’une nouvelle ligne de métro qui doit desservir EUROPACITY, projet délirant de super centre commercial. Pendant ce temps les franciliens s’entassent dans leurs RER et les picards ont de plus en plus de mal à accéder à Paris Nord.

        Les adhérents d’ALEP 80 se sont alors posé la question suivante : CDG Express ne peut-il pas être un deuxième et nouvel accès des TER picards à Paris tout en restant une desserte rapide de l’aéroport et en soulageant le RER B ? A notre connaissance, cette question n’a pas été posée et elle a donc été ignorée de l’enquête publique qui vient de s’achever. Elle se résume à la possibilité de relier la gare TGV de Roissy qui doit de toute manière être transformée, à la gare de CDG Express et à veiller à la compatibilité  des matériels roulants. Ce qui ne doit pas être impossible.

        En fait la construction d’une voie nouvelle entre Creil et Roissy vise trois cibles : accéder à la gare TGV, desservir la zone d’activités à partir de la Picardie et du Val d’Oise  et desserrer  les accès à la gare du Nord de Paris. 

        ALEP 80 demande donc que de manière urgente, la complémentarité et la coopération entre CDG Express et la voie nouvelle Picardie Roissy soient étudiées. ALEP 80 s’adressent en particulier aux parlementaires.

        Deuxième contribution aux « Assises Régionales des transports »

        Les Assises du transport que vous organisez sur la région sont une excellente idée car cela devrait permettre aux associations et aux usagers de s’exprimer sur l’état actuel du transport en Provence Alpes Côte d’Azur mais aussi de dire comment ils voient les déplacements futurs de plus en plus nombreux et nécessaires pour un développement harmonieux de notre région.

        Par une contribution n° 1 du 13 janvier 2017 nous avons rappelé les constats de la COP 21 : « Constat simple et sans appel, la route est le mode de déplacement le plus dangereux et le plus polluant avec des coûts très importants qui ne sont jamais pris en compte (Insécurité, surmortalité due à la pollution atmosphérique et au réchauffement climatique, pertes de temps, détérioration des routes……) ».

        Une étude récente constatait aussi que 48 000 personnes décédaient par an en France des suites de l’inhalation des particules fines émises par le système routier.

        Si nous étions satisfaits du fait que la Région ait choisi depuis 15 ans de développer le ferroviaire (passage de 250 TER/jour en 2000 à 650 TER/jour en 2015) nous ne comprenons pas que lors de la conférence plénière du jeudi 2 février Monsieur le Président ESTROSI ait pu proposer de remplacer des lignes ferroviaires par des lignes de bus sur plusieurs parties de la région : Aix-Pertuis, Gap-Briançon, Tende-Breil, Avignon-Orange. (Repris page 3 de son discours publié sur le site du Conseil régional).

        Qu’il ne soit pas satisfait du fait que la SNCF n’assure pas actuellement un trafic satisfaisant, (590 TER/jour au début 2017) nous pouvons le comprendre mais qu’il puisse vouloir rajouter encore plus de gaz à effet de serre dans l’atmosphère d’une région où les normes réglementaires sont souvent dépassées, nous ne l’admettons pas. Pour nous le bus doit être le complément du train et non le contraire. De plus il n’est pas possible de rajouter des véhicules de cette importance sur nos routes où il est déjà difficile de rouler, avec le risque certain d’augmenter ainsi le temps perdu par les usagers dans des embouteillages inévitables et ce n’est pas en créant des 3emes voies réservées au bus sur les autoroutes que cela résoudra les problèmes.

        En application des directives européennes vous souhaitez également devancer les dates de mise en concurrence des transports ferroviaires. Nous aimerions attirer votre attention sur les problèmes rencontrés dans des pays comme le Royaume Uni où la mise en concurrence a été mise en place depuis de nombreuses années mais où les 26 opérateurs ferroviaires sont incapables d’assurer un service de qualité malgré des prix de billets très élevés et un large subventionnement. D’autre part si nous examinons en France la mise en concurrence du fret ferroviaire nous constatons que cela n’a donné aucuns résultats positifs, en effet la presque totalité du fret ferroviaire d’avant se retrouve maintenant sur la route car le peu d’opérateurs ferroviaires privés n’ont récupéré que le fret le plus rentable que transportait la SNCF et n’ont rien récupéré à la route.  Cela veut bien dire que la mise en concurrence n’est pas la solution mais cela veut dire aussi qu’il faut imposer au service public d’effectuer un travail de qualité en lui donnant les moyens de le faire.

        Il est indispensable de moderniser les voies anciennes sur l’ensemble de la région afin d’améliorer les trains du quotidien, de réaliser la ligne nouvelle de Marseille à Nice pour libérer des sillons sur la ligne ancienne et améliorer les temps de parcours, de réaliser la percée ferroviaire du Montgenèvre pour diminuer le nombre de camions sur les routes et au passage à Vintimille, en un mot il est nécessaire de faire le choix de développer le transport collectif ferroviaire, seule solution pour améliorer les conditions de la mobilité de demain et nous pensons que c’est véritablement un des rôles de l’AOT et nous comptons sur vous pour le faire.

        Jean-Claude Cheinet
        Président du MNLE PACA

        (Courrier adressé à Philippe TABAROT Vice-Président Chargé des Transports, de l’intermodalité et des déplacements)

        Pour en savoir plus visiter le site de la Région PACA ICI

        Première contribution aux « Assises Régionales des transports »

        Nous avons participé à la réunion que vous avez organisée le 20 décembre 2016 à Marseille dans le cadre de la préparation des Assises du transport de la région Provence Alpes Côte d’Azur, veuillez trouver ci-après notre première contribution :

        Tout d’abord nous souhaiterions rappeler les constats de la COP 21 :

        « Constat simple et sans appel, la route est le mode de déplacement le plus dangereux et le plus polluant avec des coûts très importants liés à ces impacts (Insécurité, surmortalité due à la pollution atmosphérique et au réchauffement climatique) ».

        Le fait que la région ait choisi depuis 15 ans de développer le ferroviaire nous convient très bien. Ces Assises du transport démontreront probablement, comme cela vient d’être fait en Occitanie, que ce choix est bon mais qu’il faut l’améliorer.

        Il faut donc conserver et améliorer le Service public que nous avons et lui rendre la qualité qu’il a perdu depuis quelques années :

        • Remettre les trains à l’heure et ne plus avoir de suppressions en recherchant les véritables causes de cette situation et en se donnant les moyens d’y remédier,
        • De mettre en place une Intermodalité efficace, les bus et les trains ne devant pas être concurrents mais complémentaires en coordonnant les correspondances et la tarification, par exemple sur Aix-Marseille,
        • Améliorer l’accessibilité et les parkings,
        • Rechercher la possibilité de présence humaine dans les gares, les machines ne pouvant remplacer l’Humain particulièrement vis-à-vis des personnes âgées,
        • Moderniser les lignes existantes et rouvrir des lignes comme Rognac-Aix et Gardanne-Carnoules, lignes qui ont un potentiel important de possibilités d’abandon de la voiture, mais moderniser une ligne ne veut pas dire fermer la ligne pendant les travaux, il faut réfléchir à la façon de faire rouler les trains tout en modernisant la ligne, c’était possible et c’est toujours possible, l’exemple actuel de Cannes Grasse n’est pas à retenir,
        • Développer la grande vitesse avec la réalisation d’une 2eme infrastructure ferroviaire entre Marseille et Nice mais avec un maillage efficace entre cette nouvelle ligne et le réseau existant de façon à améliorer les temps de parcours mais aussi la fiabilité des trains du quotidien,
        • Bien réfléchir aux conséquences d’une mise en concurrence car un service public de qualité n’est apparemment pas compatible avec la mise en concurrence telle qu’on voudrait l’appliquer en Europe, l’exemple de l’Angleterre en voyageurs est très instructif (accidents, prix des billets…). Si cette mise en concurrence devait être développée, il faudrait qu’elle soit faîte loyalement à savoir que les frais occasionnés par la route lui soient imputés ce qui n’est pas le cas actuellement alors que pour le Fer cela est fait depuis longtemps. La concurrence en ce qui concerne le Fret est aussi significative, depuis sa mise en place en France, la route transporte pratiquement tout le fret. Il faudrait rechercher les véritables raisons de cet abandon par la SNCF et se donner les moyens d’y remédier et dans le cadre de la transition énergétique, il faut imposer la relance du Fret par le rail, c’est aussi un des moyens de protéger sérieusement l’Environnement,
        • Pour notre région il faudrait maintenir les trains TET et les trains de nuit,
        • Il est aussi indispensable de prévoir une véritable participation des usagers en permettant aux Comités de ligne de ne pas être que des chambres d’enregistrement des différents problèmes rencontrés et avec des usagers faisant de la figuration. Cela éviterait certainement les problèmes du type de Carnoules où le Maire apprend par la Presse que six trains ne s’arrêteront plus dans la gare de sa ville.

        Jean Claude Cheinet
        Président du MNLE PACA

        (Courrier adressé à M. Bruno DESSAIGNES Directeur des Trains Régionaux et de l’Intermodalité)

        Pour en savoir plus visiter le site de la Région PACA ICI