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Bienveillance paysanne

Un documentaire produit et réalisé par Olivier Dickinson, séance le vendredi 1er septembre 2023 à 20:30 au cinéma de Rodez.

Algues vertes, gaz à effet de serre, déforestation, recul de la biodiversité, réchauffement climatique… Et tant d’autres maux imputés à l’élevage ! L’animal de ferme, notre bienfaiteur nourricier, serait-il devenu l’ennemi Numéro 1 de la vie sur Terre ?

Le documentariste Oliver Dickinson a voulu le vérifier en parcourant la France pendant 2 ans, à la rencontre d’éleveurs et d’éleveuses adeptes de pratiques vertueuses. Ils et elles ont choisi de replanter les arbres et de développer d’ingénieuses collaborations animales pour laisser une empreinte plus douce et contribuer à la sauvegarde de notre planète.

L’université d’été 2023 du MNLE c’est dans un mois !

Christian Pellicani, président du MNLE Réseau Humanité et Nature, nous parle de l’université d’été 2023 du mouvement qui commence dans un mois.

Ne laissons pas la Métropole tuer le Sophora de la Corderie !

Samedi 22 juillet 2023

Le MNLE communique :

Ne laissons pas la Métropole tuer le Sophora de la Corderie !

La Métropole vient de décider, en plein cœur de l’été, d’abattre le magnifique Sophora de la place de la Corderie-Henry Bergasse, dans le 6ème arrondissement (limite 7ème arrondissement).

La Métropole n’a pas justifié cette décision absurde et n’a fait aucune concertation avec la Mairie de Marseille.

Dans le projet de prolongation de la ligne 4 du tramway vers la Place du 4 septembre, voulu par la Métropole et rejeté par la majorité des habitants des 6ème et 7ème arrondissements, cet arbre est voué à l’abattage car il en gênerait le futur parcours (pas acté à ce jour puisque l‘enquête publique n’a pas encore eu lieu).

La Métropole s’abrite, dans les documents d’étude du tramway, derrière un soi-disant « état sanitaire préoccupant » de ce Sophora, sans fournir aucune preuve de ces allégations.

Si cet arbre est malade et dangereux, que la Métropole le prouve !

Sinon, c’est encore un mauvais coup porté presque en catimini à l’environnement et au cadre de vie des Marseillaises et des Marseillais, en peine période de canicule, alors que selon l’Organisation des Nations unies pour l’agriculture et l’alimentation (FAO) les arbres peuvent créer des zones d’ombre et diminuer la chaleur ressentie : un tel usage des arbres permettrait de réduire jusqu’à 30 % les besoins en climatisation en ville.

Nous demandons la suspension de l’abattage et l’organisation en septembre d’une réunion avec les élus municipaux et métropolitains et leurs services en présence des associations, pour étudier la situation afin d’examiner les solutions permettant la protection de cet arbre remarquable.

Par ailleurs, le comité des Bouches du Rhône du MNLE, Mouvement national de lutte pour l’environnement, a alerté l’association A.R.B.R.E.S. (Arbres Remarquables : Bilan, Recherche, Études et Sauvegarde) et saisi son président Georges Feterman, pour qu’elle engage des actions de protection du Sophora.

Pour ne pas laisser détruire le Sophora de la place de la Corderie, le MNLE appelle à un rassemblement : rendez-vous lundi matin dès 7 heures au pied de l’arbre pour empêcher son abattage !

Comite.mnle13@gmail.com – 87 Boulevard Tellene, 13007 MARSEILLE – https://www.mnle.fr/

Tél : 07 60 51 48 41

Émission Naturellement de juin 2023 sur radio Agora

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Gérard Piel et Denis Laspesa du MNLE 06 interviennent tous les mois sur Radio Agora lors de l’émission Naturellement consacrée à l’environnement, au développement durable en région PACA.

Ce mois de juin, ils évoquent entre autres la journée qui a été dédiée aux feux extrêmes à Martigues le 12 juin et le numéro 143 de la revue naturellement.

28e université d’été du MNLE Réseau Humanité et Nature : Le temps des alternatives

Christian Pellicani, président du MNLE Réseau Humanité et Nature, présente le programme de la 28e université d’été de l’association : Le temps des alternatives

AVIS DU MNLE-93 NEP sur le projet « d’eau pure » du Syndicat des Eaux d’Ile-de-France (SEDIF)

Débat public du 20 avril au 20 juillet 2023 en présence des garants de la CNDP

Le SEDIF souhaite installer une nouvelle technologie intitulée OIBP (Osmose Inverse Basse Pression) dans ses trois usines de Choisy-le-Roi, Méry-sur-Oise et Neuilly-sur-Marne. Son objectif : faire de l’eau du robinet une « eau pure » en la débarrassant des micropolluants, du chlore et du calcaire, avec un coût estimé à 870 millions d’euros.

Le SEDIF dessert 133 villes, 4 millions d’usagers, à travers une gestion privée confiée en Délégation de service public à Veolia. Le débat public actuel lancé sur ce sujet doit estimer l’opportunité d’un tel projet, qui consiste à équiper les usines de traitement de nouvelles membranes haute performance de nanofiltration, sans toutefois aborder d’autres solutions possibles.  Ces solutions existent pourtant, comme le démontrent les techniques optimisées de filtration sur charbon actif de la Régie publique Eau de Paris, qui semblent mieux répondre aux besoins et à un traitement moins coûteux.

Ce sont les consommateurs qui paieront l’investissement énorme que représente la nouvelle technologie OIBP. Le montant des hausses de facturation pour les usagers ne sont pour l’instant pas connues en fonction du flou des éléments financiers du SEDIF qui n’aborde pas de façon précise les coûts supplémentaires liés au fonctionnement, à l’entretien et à la hausse des besoins en énergie.

Beaucoup trop d’incertitudes pour avoir un avis arrêté sur ce projet

La garantie d’une eau consommable ne semble pas certaine. D’une part les perturbateurs endocriniens et autres micropolluants ne sont pas entièrement éliminés par le procédé, d’autre part l’expérimentation du procédé « OIBP » a été un échec avéré à l’usine d’Arvigny à Savigny le Temple (77).

Plusieurs autres interrogations demeurent : du fait des concentrats rejetés en amont de l’usine, il y aurait une surconsommation d’énergie nécessaire et un prélèvement accru d’eau en milieu naturel (+15%). Des études parlent de 48 millions de m3 soit l’approvisionnement de 850 000 habitants.

La presse ne cesse d’évoquer la réconciliation Véolia / Suez pour restaurer « leur commune emprise sur les services publics », notamment celui de l’eau. Selon l’Observatoire des Multinationales, l’enjeu pour Véolia est d’imposer l’OIBP sur le contrat du SEDIF, le plus gros contrat mondial qui a valeur commerciale et une vitrine en matière d’eau potable à forte valeur ajoutée. Nous sommes face à une opération purement capitaliste, concurrentielle sur le plan international, visant à accroitre les profits des actionnaires.

Une véritable politique de prévention serait :

  • De s’attaquer aux problèmes de fond dans leur ensemble (construction, industrie, agriculture…) et aux pertes d’eau (absence ou insuffisance d’entretien du réseau par les gestionnaires privés et de mise en conformité des réseaux d’assainissements, manque d’entretien des cours d’eau et rivières, du traitement des eaux grises des entreprises, absence de récupération des eaux de pluies, autorisation de méga-bassines, forages illégaux, etc..).
  • D’interdire réellement les produits phytosanitaires sur les aires et bassins versants de captage et proposer des alternatives économiques permettant de se passer des pesticides.
  • D’aider les agriculteurs dans l’impérative mutation de leur secteur pour sortir de l’agriculture intensive qui fragilise la souveraineté alimentaire et tue le vivant. La transition est possible avec plus de paysans, des fermes plus petites, la renaturation des champs avec des haies, des talus, des points d’humidité, (mares – marécages) permettant le retour de la biodiversité et du vivant.

Nous sommes face à un choix de société. Les propositions du SEDIF et de Véolia comme le « plan eau » de E. Macron sont guidés par le libéralisme et le profit maximum. La réponse à l’urgence pour notre planète qui convulse et brûle sous des phénomènes météorologiques extrêmes, intenses et de plus en plus fréquents, ne peut plus attendre et doit se traduire par des mesures concrètes et efficaces.

L’eau est un bien commun indispensable pour le vivant, sa raréfaction doit conduire à l’économiser, les premiers m3 utilisés par les familles devraient être gratuits, sa gestion devrait être publique en y associant les consommateurs et leurs associations.

Un vrai service public de l’eau 

Immédiatement, il faut réparer l’insuffisance d’explications des enjeux voulue par les élus et élargir l’information, la sensibilisation et l’écoute des besoins dans chaque ville concernée. La démocratie n’est pas un vain mot. Lourde est la responsabilité des élus siégeant au SEDIF qui n’organisent pas de réunions d’information à la population, aux associations et collectifs dans leur ville.

Le SEDIF prétend être « le plus grand service public de l’eau potable en France » mais il est tourné vers une gestion privée en octroyant depuis des dizaines d’années une Délégation de service public à l’entreprise Véolia. Cet état de fait génère déjà en soi une hausse des coûts et des tarifications pour les usagers et les villes de l’Ile-de-France adhérentes au SEDIF.

Un vrai service public de l’eau devrait à l’inverse faire baisser son prix, la Régie publique Eau de Paris le démontre. Les usagers et leurs associations devraient démocratiquement y avoir leur mot à dire et participer à cette gestion publique. C’est ce que nous souhaitons à l’avenir, tant au niveau de la région qu’au niveau national.

Attaché à la gestion citoyenne de l’eau avec la prise en compte des besoins des consommateurs, et à l’éducation populaire, le MNLE-93 NEP ne cautionne pas cette fuite en avant que constitue le projet du SEDIF. 

Pantin, le 15 juin 2023

Photo : débat du 24 mai 2023 à Neuilly sur Marne

LUTTE CONTRE LES INCENDIES : LE MNLE OUVRE DES PISTES

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LUTTE CONTRE LES INCENDIES : À MARTIGUES LE MNLE OUVRE DES PISTES

Protéger nos régions, prévenir au mieux les incendies, mieux lutter contre le feu, mieux gérer la forêt afin de limiter les conséquences de cette sécheresse et nous adapter aux évolutions du climat, tel était le programme de la journée de rencontres et débats du 10 juin à Martigues.

Organisée à l’initiative du MNLE Paca et du MNLE 13, elle a rencontré un vrai succès. C’est devant une soixantaine de personnes que les intervenants (pompier, syndicaliste de l’ONF, propriétaires de forêts privées, chercheur de l’INRAE) ont dressé un état des lieux, avancé des propositions et débattu avec la salle.

A l’issue de cette journée, plusieurs axes de travail se sont dégagés. Valoriser les métiers du bois, mieux financer la recherche sur les forêts et les incendies, poursuivre et améliorer l’éducation à l’environnement sont quelques unes des pistes à suivre.

La journée avait été ouverte par le Maire de Martigues, Gaby Charroux, qui a fait part des difficultés rencontrées par les communes dans l’aménagement de leur territoire, entre zones inondables et zones de feux rendues inconstructibles, d’une part et obligation de construire des logements sociaux, d’autre part.

Avec Pierre Dharréville, Député des Bouches du Rhône, venu saluer les participants et les assurer de son soutien, c’est l’idée d’un travail législatif qui a émergé, le député se déclarant prêt à travailler avec le MNLE pour ouvrir un chantier sur la gestion des forêts, qui doivent être considérées comme un bien collectif, à l’image de la ressource en eau.

La centrale à biomasse de Gardanne, voisine, a bien sûr été évoquée. L’incinération du bois a suscité un débat intéressant et positif, en mettant en évidence les possibilités et les limites de la filière bois.

Le MNLE PACA va prolonger cette rencontre en organisant des réunions dans les 5 autres départements de la région (et pourquoi pas, faire école dans d’autres régions de France ?).

Vous retrouverez dans Naturellement N° 144 l’intégralité des neuf points et propositions des conclusions.

Présentation du numéro 143 de la revue Naturellement

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Christian Pellicani, directeur de la revue et président du MNLE Réseau Humanité et Nature, présente le numéro 143 de la revue Naturellement.

Contribution à l’avant-projet de SDRIF-E

Le GIEC confirme que la température de la planète va croitre de +1,5°C d’ici à 2030. Ce réchauffement est causé en partie par les logiques capitalistes de concentration et d’expansion anarchiques des zones urbaines à travers le monde. Dans le même temps, c’est en toute discrétion que l’on félicite aujourd’hui les paysagistes du parc Georges Valbon pour avoir conçu, il y a 50 ans, une vision de long terme à l’inverse de ces logiques : avoir su développer un parc d’envergure, de détente et de loisirs pour tous, dans le respect de la nature. Une véritable forêt où une biodiversité remarquable s’est développée au fil des ans jusqu’à être labellisée Natura 2000. Et ceci à partir de la réutilisation des déchets provenant des travaux de la Défense et du « trou des Halles ». Alors que la révision du SDRIF se doit d’adapter la Région Île-de-France au changement climatique, il est important de se rappeler qu’il existe des exemples concrets du passé où des visionnaires ont démontré qu’un changement de paradigme est possible, efficace et dépend uniquement de la volonté d’agir.

Dans un article récent de 20 minutes, Jean-Philippe Dugoin-Clément, vice-président de la région Ile-de-France en charge du SDRIF, nous révèle le pot aux roses : « La difficulté du SDRIF est qu’il doit concilier nombre d’impératifs, souvent contradictoires. En l’occurrence, il fonctionne avec “deux piliers, environnemental et économique”, et pour chacun de ces aspects, des “lobbys des deux côtés qui sont maximalistes” ». Deux thèmes principaux se dégagent donc : l’environnement et l’économie. Omettant, et c’est le plus criant, l’enjeu social. Ce SDRIF se projette ainsi comme un compromis entre une bourgeoisie productiviste d’antan et les ambitions et la montée en puissance d’une nouvelle bourgeoisie ayant saisi l’intérêt d’une métropolisation plus « verte ». La majorité des franciliens risquent de continuer à perdre, car ce qui nous est proposé c’est toujours l’amélioration de l’environnement et de l’économie d’une classe sociale particulière et non de tous.

Cette 1ère version du SDRIF ne fait que consolider une urbanisation déjà tentaculaire, faisant la part belle aux bâtisseurs privés, en accentuant les inégalités et en assujettissant les enjeux environnementaux au cadre   imposé d’une métropole mondialisée. La division de la région capitale en zone socialement distincte se poursuit : les plus pauvres se trouvent rejetés de plus en plus loin. Le polycentrisme y est encore développé : plateau de Saclay, gares du Grand Paris Express et leur périmètre de densification élargi ; les lignes de transports en commun allant de pôles d’excellence en pôles d’excellence ignorent totalement les interstices, en particulier là où sont rejetées les populations « déclassées ». Les cartes illustrant le projet de SDRIF (inaccessibles aux néophytes) laissent entrevoir de nombreuses possibilités d’urbanisation et par conséquent la poursuite de l’artificialisation des sols. Or la véritable préservation des espaces naturels, agricoles et forestiers nécessite de tendre vers une Zéro Artificialisation Brute, pour ne considérer le Zéro Artificialisation Nette que lorsqu’il n’y a pas d’autre alternative. Ainsi, cette 1ère version proposée ne répond pas de manière significative aux enjeux environnementaux, malgré le « E » (pour Environnement) inclus dans son titre.

Si la question du logement est une préoccupation constante, urgente et légitime des franciliens, l’objectif réaffirmé de 70 000 logements par an, voire plus « pour combler le manque de construction antérieur » est incohérent. La croissance annuelle de 50 000 nouveaux habitants dans la région avec une composition de 2,3 personnes par ménage depuis 2006, ne justifie pas ce rythme de construction. De plus, il est prioritaire que le SDRIF interdise les constructions dans les zones qui cumulent les handicaps (zones inondables et de bruits, implantation le long des axes de circulation pollués) ou pouvant développer de l’agro-écologie (comme sur le triangle de Gonesse). Une politique rationnelle serait de mettre en place les outils techniques et financiers pour réhabiliter les milliers d’immeubles insalubres ou classés comme passoire thermique, de transformer les milliers de m² de bureaux vides en logements locatifs sociaux. Mais plus globalement de planifier un rééquilibrage des emplois entre la métropole et les autres territoires.

Le MNLE 93 NEP a contribué activement à la 1ère phase de consultation en déposant 21 contributions après un travail d’analyse et d’échanges avec ses adhérents et au-delà avec d’autres associations, collectifs, citoyens. Nous adhérons à l’analyse critique du livre blanc écrit par le FNE, en tant que membre ayant participé à sa rédaction. L’enquête publique débutera en janvier 2024, pour trois mois. Ce sera un temps fort durant lequel nous ne manquerons pas de nous mobiliser et de faire des propositions.

Nous posons ces grandes lignes directrices que nous défendrons pour l’Ile-de-France.

Mai 2023

Parc de l’Aire des vents : Répondre aux besoins de la population

Selon la presse, les journalistes attendus pour couvrir les JOP 2024 logeront plutôt à Paris. Le centre principal de presse étant situé au Palais des Congrès Porte Maillot Paris 17eme, ils dormiront pour la grande majorité d’entre eux dans la capitale. Le COJO a réservé 42 000 chambres d’hôtel à destination des personnes accréditées dont les 26 000 journalistes. Triste constat :le « Cluster des médias pour une cité jardin » sur près de 8 hectares de l’Aire des Vents est donc bien un cheval de Troie pour une opération immobilière et spéculative. Les logements construits ne seront pas accessibles aux demandeurs de Dugny.

Les auteurs de ce choix ont détruit un corridor écologique, une liaison pour la faune entre le parc Georges Valbon et les espaces verts du Val d’Oise. Après les chercheurs du GIEC interpelant sur la responsabilité humaine du réchauffement climatique, ce sont ceux du CNRS qui dénoncent la disparition de 800 millions d’oiseaux depuis 1980. L’héritage de la politique d’urbanisation, de destruction des terres agricoles, espaces verts et jardins est catastrophique pour le vivant.

Il est encore temps !

Répondre aux besoins d’espaces verts et de lieux de détente, de sports nécessite de ne pas construire la deuxième tranche de logements prévus sur l’Aire des Vents, de tout engager pour restituer l’équivalent de la zone construite. Le délaissé situé en bordure Nord Est de l’Aire des Vents rue Normandie Niémen (12 000 m 2) et propriété de la ville de Dugny, peut être déconstruit puis renaturé pour recréer plus d’un hectare d’espaces verts. Ce choix permettrait d’initier la restitution des cités en limite gérées par Seine-Saint-Denis Habitat et ouvrirait l’accessibilité aux habitants.

Rendre plus vivant ce lieu nécessite :

1 -L’implantation d’équipements grand public et enfants appropriés, de bancs, points d’eau et sanitaires pour en faire un espace public convivial et familial.

2 – La surface retrouvée devrait permettre d’accueillir de multiples épreuves sportives, de rendre aux clubs cyclistes et scolaires un lieu d’apprentissage et de compétitions sportives.

3 – Equipé pour des rencontres évènementielles avec à proximité la gare du T11, des spectacles de plein air pour toute l’Ile-de-France pourraient y être accueillis.

De la mobilisation citoyenne dépendent les acquis que nous pouvons obtenir. Nous souhaitons connaitre vos propositions d’aménagement et vos attentes pour vous aider à les porter auprès des décideurs. Vous pouvez utiliser pour cela le coupon ci-dessous.

Envoyez-nous vos propositions au MNLE-93 et Nord Est Parisien – 61 rue Victor Hugo – 93500 Pantin ou par mail à mnle-93@orange.fr

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Tract du 20 mai 2023 distribué à l’occasion de la réunion d’information de la Solideo (Société de livraison des ouvrages olympiques) du 30 mai 2023 à Dugny sur le Village des médias, l’Aire des Vents et le Terrain des essences.